mardi 22 janvier 2013

La Nation, État souverain...




Aujourd'hui sous l'argumentaire mondialiste (que je considère fallacieux) les nationalismes se délitent, ils ont même mauvaise réputation, au bénéfice d'un autre mode de reconnaissance, que l'on voudrait plus humaine, plus acceptable.
Pourtant, appartenir à une Nation signifie de la chérir, de la défendre, de se reconnaitre au sein d'une même bannière, indistinctement de la couleur de la peau,  de la classe sociale, de la religion, de l'ethnie..., cela implique que les dirigeants élus ou nommés agissent pour le bien exclusif de l'ensemble de la Nation.
C'est-a-dire que soumettre la souveraineté nationale a des traités internationaux ou européens ou qui se révèlent être un piège pour les populations, est une violation au regard de l'engagement pris en se présentant à une élection, c'est un abus de confiance, c'est une escroquerie, particulièrement lorsque ce dernier favorise une catégorie de citoyens au détriment des autres. C'est le reniement même de ce que devrait être l'engagement politique.  Ces hommes là, s’engagent en politique, non pour servir la Nation mais pour se servir d'elle...
Dans ces conditions, pourquoi devrions-nous perdre notre nationalisme au profit de la religion ou de l'ethnie ? La perte de notre nationalisme, comme la déconstruction sociétale, se fait au bénéfice de la religion, de l'ethnie..., et qui finalement dresse les religions, les ethnies, les unes contre les autres au sein même d'une même communauté nationale.
Or nous constatons que seul ceux qui réussissent à se fédérer, au sein de la religion ou de l'ethnie, voire les deux, demeurent les bénéficiaires de l'idéologie qui voudrait faire passer l'économie devant l'humain.

Aujourd'hui les traités d'économie ou géopolitique au sein des instances internationales deviennent un guet-apens, aussi bien pour les États que pour les individus. Seul les États ayant les moyens  de se préserver, peuvent alors refuser un engagement pouvant se révéler néfaste pour lui ou ses citoyens. 
Exemple : "Les USA et Israël ont refuse les traités du Tribunal Pénal International (TPI) pour ne voir un de leurs ressortissants (militaires) être jugé par un autre tribunal qu'un tribunal national. [...]" Autrement dit, les militaires américains peuvent commettre des crimes des guerre, ils ne seront pas jugés par le TPI (USA à Guantánamo, par exemple ;  Israël en Palestine, -Cisjordanie et Gaza, par exemple-. [...])

Idéologie mondialiste fomentant des guerres nommés : Ethniques ; de religion ; économiques ; politiques, favorise l'influence du plus fort, du mieux armé,  c'est l'idéologie des va-t-en-guerre, que les manipulations les plus cyniques justifient, où la souveraineté des Nations se perd dans les abysses des plus cupides d'entre-nous, favorisant les inégalités de plus en plus croissantes des populations.

La mondialisation comme la démocratie serait "bonne" pour les peuples à la condition d'être dirigés par hommes honnêtes, détachés de toute ambition personnelle ou communautaire. (Ces hommes valeureux, justes, prenant des décisions humaines, comme le fit le Conseil de la Résistance). Malheureusement ce que nous constatons est tout le contraire. Des dirigeants qui s'enrichissent au même temps que le peuple s'appauvrit, des gouvernements signant des accords qui se révèlent être de véritables pièges pour les populations, des instances internationales asservissant les nations, des élus politiques s'octroyant des avantages, quand au même moment réduisent ceux des populations..., des êtres ayant confondu l'engagement solennel que représente d'être élu, avec l'abus de confiance, quand se n'est pas l'abus de biens sociaux tout-court.  

Aujourd'hui dans cette mondialisation rampante, seul une ethnie ou religion supranationale, qui aurait la faculté de phagocyter les médias, nos Gouvernements, et par conséquent nos États, accéderait à la plus haute marche du podium.  



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