Retraite par répartition.

Futurs retraités, la retraite par « points » est à l’opposé de la retraite par « répartition ». 

La retraite par points est l’équivalent de chacun pour soi, la loi de la jungle en quelque sorte et là, l’avantage est et sera aux gros revenus.

La retraite par répartition, est le système que le monde entier nous envie, puisqu’il fait appel à la solidarité intergénérationnelle. Dans ces conditions pourquoi que ce système est à l’agonie ? Système basé exclusivement sur les revenus du travail, il faut donc élargir son assiette, cela a été fait avec Michel Roccard et la CSG, Ces idéologues trouvent de l'argent pour faire la guerre, pourtant aucun revenu ne vient combler ses pertes. 

Du travail il y en a de moins en moins, il donc aisé d’imaginer qu’il faille élargir l’assiette des cotisations, (Élargir les sources des contribution) mais surtout une plus grande justice. Que la répartition de la plus-value économique soit juste. Que le travail bénéficie à chacun, que chacun ait sa part. Il n’y a aucune raison, intellectuellement parlant, qu’il y ait une certaine élite qui vampirise le fruit du travail de l’ensemble des employés, n'est pas acceptable. 

Ce n'est que l'exemple.

Et qu’il y ait des salopards qui fassent « pisser le sang » pour avoir des revenus stratosphériques, cautionnés par les salopards que nous avons (en toute bonne foi) élus et qui se révèlent être des véritables domestiques du LIBERALISME, ne change rien au caractère véreux et déloyal de ces agissements. 
      

Le LIBERALISME, ne sort pas des limbes, mais d'une volonté d'êtres amoraux. 

La preuve : 

Déclaration de Georges Kennan en 1948.

G.K. :  « les USA représentent 50% de la richesse mondiale  et 6.3% seulement de sa population. Etant donné cette situation, nous ne pouvons qu’être l’objet d’envie et de ressentiment. Notre véritable tâche sera à l’avenir de concevoir un mode de relations nous autorisant à conserver cette position d’inégalité sans que soit entamée notre sécurité. Pour cela, il faut nous départir de tout sentimentalisme et de toute chimère, afin de concentrer partout notre attention sur les objectifs nationaux immédiats. Ne croyons pas pouvoir nous offrir le luxe de nous poser en altruistes et bienfaiteurs de l’humanité. Il faut cesser de tenir des propos aussi vagues et irréalistes que le sont les droits de l’homme, l’accroissement du niveau de vie ou la démocratisation. Le jour n’est pas loin où il faudra traiter en termes de pouvoir au sens strict. Moins nous serons alors gênés par des déclarations idéalistes, et mieux cela vaudra. »