Les Américains ne sont pas nos amis.

Augustin de Colnet, professionnel en intelligence économique, diplômé de l’École de guerre économique et auteur de « Compétition mondiale et intelligence économique » aux éditions Valeurs Ajoutées est l'invité d'André Bercoff.

Les Américains ne sont pas nos amis. S'ils sont nos "alliées" ils sont en réalité nos ennemis dans ce que l'on appelle : "La guerre économique". Dans les fait ils sont les ennemis économiques du reste du monde, sauf ceux qu'ils considèrent faire partie du "clan" Anglo-Saxon. 

Cette vidéo vous illustrera la méthode avec laquelle sont soutenues les preuves considérées à charge par la justice Etatsunienne et qui accablent les entreprises visées, alliées ou non hors du camp Anglo-Saxon.

Vidéo :  

https://www.youtube.com/watch?v=u2NTJ9kcxp4

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Mon point de vue qui n'engage que moi :

Gaulliste de toujours, le Général de gaulle n’a pas été uniquement un modèle de vision à long terme, d’intelligence et d’honnêteté mais aussi la représentation absolue de ce que doit être un dirigeant politique.

Mes incertitudes, je l’ais ais ressenties bien plus tard avec Nicolas Sarkozy, François Hollande et surtout avec Emmanuel Macron, mais aussi, bien avant la déchéance que nous ont présenté ces trois vendus de la politique il y eut Georges Pompidou (ancien employé de la banque Rothschild tout comme Macron) qui fit voter les lois obligeant l’Etat à emprunter sur le « marché » ses besoin en investissements : écoles, routes, bâtiment publics … qui fut moins l’âge d’Or des banques que le pouvoir grandissant d’une communauté de gens influents et riches sur le pouvoir politique des Etats surtout du camp Occidental au départ, au monde ensuite. N’ont pas hésité à déstabiliser et combattre tout principe qui s’y opposerait.

Aujourd’hui l’influence près-citée a atteint son « camp de base » à partir duquel (La France de Macron) l’expédition vers les sommets peut commencer. Autrement dit si Macron gagne l’élection Présidentielle, s’il obtient à nouveau la majorité au Parlement la voie royale vers les sommets leur sera ouverte.

Il en sera fini de la position de la France dans le monde et son indépendance.  

 Aujourd’hui pour beaucoup il s’agit de voter pour la « peste » ou « cholera ». Le Pen gouvernera sans doute mal la France, mais ce qui est sûr c’est que Macron abandonnera la France au camp qui le fait vivre.     

Les Etats « alliés » mais qui ne feront pas partie du « camps anglo-saxon » perdront leur influence. Inexorablement leur démocratie de perdra dans le labyrinthe des lois crées Adhoc.

Ce que Macron, agent de l'étranger, a déjà commencé à faire.

Les Etats contradicteurs devront faire face à des difficultés grandissantes de tous ordres. Et là seul l’avenir nous dira si la terre n’a pas explosée.