mardi 21 août 2012

Louez un olivier, un olivier peut en cacher un autre.


L'Olivier : L'arbre pour apprendre à cultiver... le bonheur 

Les Pouilles, les villes sublimes où nul n'a le droit d'abattre un olivier, où l'on parle de troncs magnifiques comme le seraient ses habitants qui auraient plus de 1000 ans.

L’olivier est un arbre d'exception qui opère sur chacun d’entre nous une véritable fascination. En effet, l olivier, qu’il soit de Provence, du Portugal ou d’Espagne, est aujourd’hui le végétal incontournable pour les créations de jardin, aménagements de terrasses et ornements de piscine. L’olea europea est devenu ces dernières années, le végétal tendance de vos terrasses et balcon. Même les entreprises s’y sont mise : véritable cadeau environnemental, nombreuses sont les sociétés et collectivités qui souhaitent acheter un olivier ou bien encore le louer. Sachez que la location d’oliviers est désormais possible ! Contactez le site du Gouvernement israélien en leur demandant de les louer au lieu de les bruler.


Acheter un olivier est certes chose facile. Certains professionnels de l’évènementiel, restaurateurs et particuliers opteront pour un olivier en pot ou un arbre en bac. D’autres choisiront l’option « aménagement jardin ». Dans ce cas, la préparation du lieu où vous allez planter un olivier centenaire se doit d’être mûrement réfléchi, et éventuellement travaillé par un système de drainage… et sachez que les oliviers centenaires dégagent tout leur charme en situation isolée ! Nos architectes d’extérieurs et paysagistes partenaires seront là pour vous accompagner tout au long de votre projet et vous aider à planter un olivier en pleine terre.

Vous l’aurez donc compris, www.oliviers-centenaires.com est bien plus qu’un simple catalogue d’arbres à acheter en ligne. En effet, les particuliers trouveront sur notre site de nombreuses rubriques qui les aideront à mieux comprendre ce magnifique arbre d'ornement au tronc noueux et au feuillage persistant. N’hésitez pas à parcourir nos pages :


     

On dit que la France va mal, pour pallier à ces maux, les dirigeants prennent des mesures plus ou moins adéquates. Très souvent des tâtonnements qui se révèlent très couteux. Il y a cependant une mesure qui n'est jamais évoquée par aucun gouvernement et qui pourtant parait évidente. Surtout, après la création de l'Union Européenne. Celle de la réduction du nombre de politiques nationaux, qui à part les maires, pourrait sans aucune difficulté être réduit de moitié.

Imaginons une entreprise qui traine avec elle un encadrement pléthorique, dont bon nombre d'entre eux sont intéressées exclusivement par leurs émoluments, que leur intérêt pour la bonne marche de l'entreprise n'est que relative, quand, par leur double jeu ont tendance à favoriser la compétitivité d'une autre entreprise. Il en résulte un manque de compétitivité et de rentabilité.
C'est exactement ce qui arrive à la France  et dans une certaine mesure à la quasi totalité des Etats Européens, favorisant une mondialisation qui ne rend service qu'a une minorité supranationale. Nous avons en France trop de dirigeants, nos gouvernements sont gangrénés de l'intérieur par des personnalités préoccupés d'avantage par leur bien-être personnel, quelque fois par celui de leur communauté, que par celui de la Nation. 

Ce que nous pouvons remarquer, ce que nous pouvons craindre c'est qu'une telle reforme ne se fasse sans des manifestations qui, n'en doutons pas, seront réprimes violemment. Il faudra donc, puisque les politiques vivent de la Nation et non pour la Nation, que les citoyens aient le courage de faire ces manifestations, mais surtout de résister. Nous sommes là dans une révolution qui doit remplacer l'aristocratie politique actuelle par des politiques sincères, mais surtout honnêtes et laissant la cupidité à des êtres rudéraux, sans intérêt.  

Il ne faut pas s'étonner dans ces conditions que les responsables d'entreprises nationales ou nommés par l'Etat, se conduisent en aventuriers, faisant de leurs obligations, une loterie où seul l'intérêt personnel est gagnant, éventuellement communautariste, en tout état de causse, pas le citoyen.

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