Par Frank Barat
20
septembre 2012
Alors que nombres de rapports d'organisations humanitaires
et de délégations sortent mois après mois, condamnant Israël pour ses pratiques
envers les Palestiniens, y compris sur le nombre croissant de mineurs emprisonnés,
les eurodéputés a la commission du commerce international (INTA) ont le 17
septembre dernier, comme à l’accoutumée, décidé de récompenser Israël.
Qui
sont ces eurodéputés qui récompensent Israël et votent des accords bilatéraux de
coopération trahissant les fondements démocratiques de l'Europe. Ce sont des
êtres inconséquents à la morale politique et philosophique aléatoire, tout
dépend où l'intérêt personnel ou communautariste se trouve. Ce sont des
êtres au sens démocratique particulier qui ont pris le pouvoir en Europe, mais
nous pourrions parler aussi, ainsi, des Etats Unis où les lobbys militaro/industriel
; du pétrole et le lobby pro-israélien financent les élections.
L'A.I.P.A.C. (lobby juif, pro israélien, l'équivalent en
France du C.R.I.F. des organisations racistes et manipulatrices qui ont
l'influence de "suggérer" a nos dirigeants la politique à mener...) organisation qui a le pouvoir de dicter la
politique étrangère, de la plus grande puissance militaire du monde, au Proche et Moyen-Orient et plus largement là
où est l'enjeu des intérêts juifs.
Pour
revenir à l'Europe - Il suffit de
constater la soumission de la commission présidée par Barosso à cette
mondialisation qui ne bénéficie finalement qu'a la finance, cet espace de
liberté voulu par ses pères, est devenu un nœud coulant pour les États et par
voie de conséquence pour ses citoyens -,
et pour justifier l'illégitimité ou celle des autres dirigeants européens, il
suffirait de questionner les européens, dans un référendum, par exemple, pour
s'apercevoir que la majorité des populations renieraient ces êtres parvenus et
amoraux qui se soumettent à la dictature de la finance et qui s'octroient le
droit de primer un État raciste ; ségrégationniste ; despotique ;
va-t-en-guerre ; qui n'a respecté depuis sa création aucune des résolutions de
l'ONU - qui lui à
pourtant accordé l'existence - et qui se
conduit avec le Peuple qui l'a accueilli comme le plus vil des maraudeurs.
Les eurodéputés, en votant en faveur de l'accord
commercial « ACAA », officialisent l'entrée d'Israël au sein
du marché unique européen. Alors qu'Israël poursuit de manière effrénée sa
colonisation en Palestine, une colonisation à laquelle s'opposent, par la
parole, nos dirigeants, ils démontrent encore une fois, par leurs actes, que le
peuple ne peut avoir confiance en eux.
Une question revient souvent dans la bouche des dirigeants
israéliens. « Pourquoi Israël ? Pourquoi les gens se focalisent-ils
sur ce pays alors que d'autres commettent des crimes au moins aussi graves que
les nôtres ? »
Les eurodéputés viennent d'apporter une belle réponse à
cette question. La société civile se mobilise de plus en plus pour les
Palestiniens, car Israël, tout en violant un nombre incalculables de
résolutions des Nations unies et en bafouant le droit international jour après
jour, reçoit constamment un soutien indéfectible de la part des grandes
puissances de ce monde. C'est en cela qu'Israël est vraiment un cas unique et
doit continuer à être traité comme tel.
C'est pour mettre à jour ces faits, cette injustice, que
du 6 au 8 octobre 2012, à New York, un mois avant l'élection présidentielle
américaine et pendant la réunion de l’Assemblée générale des Nations unies, que
le jury du Tribunal Russell sur la Palestine se réunira
dans le cadre de la 4ème session du tribunal.
Alors que l’élection américaine sera au cœur des débats, plus
de 700 personnes démontreront, pendant 3 jours, que la vraie démocratie
signifie « le pouvoir au peuple ».
Pour cette quatrième session, le tribunal reviendra aux
sources de la question palestinienne et examinera les évènements historiques
qui ont enfanté le conflit et accusera ceux qui agissent pour qu’aucune
solution ne voie le jour.
Nous parlons aujourd’hui encore du “ conflit
israélo-palestinien ”. L’expression implique deux pouvoirs égaux, une égalité
de parole et un soutien équivalent des pays tiers. La réalité est tout autre.
Réalité que la majorité des gouvernements et des grands médias tentent
d’occulter. Israël a été créé aux dépens du peuple palestinien. Israël occupe
les territoires palestiniens, Israël mène une politique d’apartheid, une politique
colonialiste, Israël viole des centaines de résolutions des Nations Unies (y
compris celles du Conseil de Sécurité) et Israël est soutenu par la plupart des
grands pays occidentaux, le plus puissant d’entre eux étant les États-Unis.
Telle est la réalité et c’est ce sur quoi se penchera la
4ème session du Tribunal sur la Palestine.
Après les trois premières sessions du Tribunal, des
personnalités comme Stéphane Hessel, Alice Walker, Angela Davis, Michael
Mansfield, John Dugard, Ronnie Kasrils, Dennis Banks, Mairead Maguire, Miguel
Angel Estrella et Cynthia McKinney participeront une nouvelle fois à la
déconstruction des mythes et des questions tabous.
Ilan Pappe donnera un éclairage historique, ô combien
nécessaire, sur les évènements qui se sont déroulés avant et pendant les
premières années après la création de l’État d’Israël. Ilan Pappe évoquera
le sujet tabou par excellence : le sionisme. On ne peut réellement
appréhender la situation sur place sans parler et comprendre ce qu’est le sionisme
et ce qu’il représente aujourd’hui.
Peter Hansen, qui a longtemps occupé le rôle de
Commissaire Général de l’UNRWA (de 1996 à 2005) fera un état des lieux du rôle
joué par les Nations Unies en Palestine : l’ONU en tant qu’acteur, la
charte des Nations Unies en tant que constitution, le système des Nations
Unies, son fonctionnement et son rôle normatif. Peter Hansen connaît
parfaitement le rôle du « médiateur honnête » (comprendre les
États-Unis) qui s’est fermement opposé à sa réélection en 2005 (voir ici).
Noam Chomsky, Katie Gallagher, David Wildman et Diana
Buttu parleront quant à eux du rôle joué par les États-Unis au cours des
dernières décennies. Pourquoi est-il crucial pour tout candidat à la Maison
Blanche d’affirmer : « Mon soutien à Israël est
indéfectible » ?
Mais le rôle du tribunal ne s’arrêtera pas là.
Au cours de la dernière journée (dimanche 7 octobre),
les derniers intervenants aborderont une discussion plus
large tournée vers l’avenir. Williams Schabas, Johan Galtung, Saleh Hamayel et
le co-fondateur de l’American Indian Movement, Russell Means, tenteront pendant
environ 2 heures, avec l’aide du jury, de trouver le mot, le concept, qui
définit le mieux la politique globale d'Israël à l’égard des Palestiniens et
cela depuis 1948.
Le fait qu’Israël pratique l’apartheid et le colonialisme
a été prouvé au cours des dernières années par des rapports émis par des
organisations défendant les Droits de l’Homme (incluant le Tribunal Russell sur
la Palestine au cours de sa 3ème session du Cap), des organisations humanitaires et des organes des
Nations Unies.
Le temps est venu de comprendre ces pratiques comme un
sous-produit d'un crime bien plus grave. Comment cela a-t-il commencé, comment
cet apartheid est-il apparu et pourquoi est-il maintenu, n’existe-t-il pas un
crime antécédent et parallèle, répondant à la définition d'un crime contre
l’humanité, se poursuivant encore aujourd’hui sans qu’on ne lui ait encore
donné de nom ?
Voila la question majeure à laquelle devront répondre les
membres du jury du tribunal.
Une fois la réponse trouvée, nos dirigeants seront mis
face à leurs actes. Trouveront-ils un moyen de se justifier ? Ou sera t-il
trop tard ?
Je
crois que effectivement l'acceptation de la colonisation de la Palestine toute
entière, que si l'on laissait faire aboutirait à l'éradication d'un peuple (pas uniquement les colonies dites de peuplement
pratiquées par les gouvernements israéliens)
est un sous-produit d'un crime, non, bien plus grave, mais, de mon point de
vue, tout aussi grave.
En
effet: si nous parlons du Génocide des Juifs d'Europe par les nazis, est un
crime contre l'humanité - nous sommes d'accord - mais rayer la Palestine de la
carte, réduire son peuple à la misère et en faire des hommes sans patrie dans
des camps de réfugiés, est aussi, un crime contre l'humanité. Un crime d'autant
plus inacceptable qu'il a été murement réfléchi et programmé dès 1940 : Le Plan Daleth
[*]- Alors que dans le même temps Israël accorde aux Juifs, du seul fait
d'être juifs, la double nationalité, quelque soit le pays d'origine. Ce
qui pose le problème du conflit d'intérêts lorsque dans nos États nos élisons un juif. C'est-à-dire: qu'un juif américain
élu ou nommé à un poste a responsabilités n'agira pas avec a loyauté qui
devrait être la sienne, mais dans l'intérêt d'Israël. Nous l'avons constaté avec Henri Kissinger (l'artisan hypocrite de ce conflit) aux USA. Se phénomène se
reproduit, bien évidemment, en Europe, en France. Par exemple: lors de la
Présidence de l'Europe par la France où Sarkozy (pro-israélien) et Bernard
Kouchner ont obtenu, au forceps, le rehaussement des accords de coopération entre
l'Europe et Israël au moment même où ce dernier commettait un crime contre
l'humanité à Gaza. Nous pourrions dire la même chose de François Hollande et
Laurent Fabius, ce dernier depuis sa nomination à la tête de la Diplomatie
française n'a pas cesse de prendre des
décisions qui protègent ou favorisent Israël. L'Europe condamne la colonisation
israélienne mais passe des accords de coopération avec les gouvernements
sionistes. Je
ne m'attarde pas d'avantage là dessus, tous les ceux qui au fait de ce conflit et
qui ne sont pas fanatisés connaissent la difficulté à laquelle nous sommes
confrontés. L'obtention
de la double nationalité pour cause de religion ou d'ethnie est unique dans
l'histoire humaine. Sans oublier que les juifs citoyens d'un pays ayant aboli
la prescription vont en Israël, tuer des hêtres humains sans défense en Palestine. Et
lorsque des factions combattantes résistent, cet Occident hypocrite les qualifie
de terroristes.
Il
y a cependant un point qui me parait bien plus grave que les morts de la
Deuxième guerre mondiale, c'est que le sionisme, on le voit bien, ne se
contente pas de prendre possession d'une terre et d'enlever la citoyenneté au
peuple autochtone, mais a fédéré, peut-être grâce aux crimes cités plus haut, la
quasi totalité de la communauté israélite. [Alors
qu'avant les années 1930 moins de 15% des Juifs adhéraient à l'idéologie
sioniste]
C'est
aussi par l'adhésion au sionisme des Juifs les plus riches qui a permis aux
lobbys juifs d'acquérir leur influence, l'A.I.P.A.C. en Amérique aussi en
Europe, par exemple le C.R.I.F. en France. Influence qui s'exerce sur les
dirigeants politiques et économiques, qui non seulement absolvent et
cautionnent les crimes du sionisme, mais adhérent à la vision mondialiste des
plus argentés, juifs ou non. La Branche anglaise de la Famille Rothschild à
négocie avec le Gouvernement de sa Majesté la Déclaration
Balfour [**] pour le compte de l'Organisation sioniste mondiale. La Banque
Rothschild, avec la CIA, Rockefeller & Cie sont parmi les chantres de la
mondialisation qui opprime les peuples. Il ne faut donc pas s'étonner dans ces
condition que : nous élisions des subalternes à la tête de nos Etats.
Jusqu'en
1948 l'idéologie sioniste incarnait la conquête ou reconquête, peu importe, de la Terre promise par Dieu (excusez du peu).
Mais aujourd'hui nous le constatons les ambitions sionistes, ou de ceux qui
soutiennent le sionisme, [les tenants de
la mondialisation] parce qu'ils y voient un moyen de domination et pas
uniquement sur la Palestine. Le monde est aujourd'hui leur terrain de jeu. [Comment a-t-on pu aliéner les Etats à la finance
privé ! C'est l'esclavage moderne institutionnalisé, a croire que nos
dirigeants sont stupides, a moins qu'ils y trouvent leur compte...]
Mondialisation
où si les financiers (milliardaires)
du groupe Bilderberg sont la clé de
voute, le sionisme, par l'influence de ses Lobbys, est la pierre angulaire de
l'oppression imposée aux populations principalement occidentales. Aux autres, a
tous ceux qui n'agréent pas la politique sioniste ou qui veulent s'affranchir
de la main mise de l'Occident sur leurs richesses du sous-sol, hé bien !, on
les dénigre ou/et on leur fait la guerre...
[L'exemple de l'Egypte est parlant. Voila un Etat
où des islamistes ont gagné -démocratiquement-
les élections et sous prétexte qu'ils veulent imposer, entre-autres, la Charria, qui est un recul sociétal, nous sommes d'accord, mais qui
sommes-nous pour leur imposer le modèle de société dans lequel ils veulent
vivre ? L'Arabie Saoudite est un pays musulman où la charria la plus dure y est
pratiquée, pourtant aucun pays occidental ou même les USA ne trouvent à redire
! Non le renversement du gouvernement Egyptien avait d'autres motivations...]
Nous
pourrions parler ainsi de bien d'autres exemples. Notre modèle de société est
une fuite en avant qui nous mène à la soumission à l'argent. Je ne vois pas là,
où est l'avance sociétale que nous défendons tant, et pour laquelle nous tuons
des innocents.
Le
danger, de mon point de vue, c'est que les lobbys pro-israéliens ont phagocyté
les USA, pays je le rappelle, qui concentre 50% de l'armement mondial et qui
compte en son sein les Néoconservateurs possédant dans ses rangs une majorité
de sionistes qui défendent l'idéologie qui voudrait régler les conflits de ce monde par la manière
forte, ce sont des hommes qui forts de cet armement qu'ils voudraient faire plier tout
concept sociétal contraire à leurs intérêts.
C'est
ainsi, par exemple, que cet Occident "démocratique" Israël en tête,
voudrait empêcher l'Iran d'entrer dans le club des puissances nucléaires. Alors
que c'est une évidence, l'Iran étant entouré da basses nucléaires hostiles, veuille
se protéger. L'Iran, je l'ai déjà dit
mais je vais le répéter, n'a pas été à l'origine de aucun conflit dans
l'ère moderne - 2.000 ans - tandis que ceux qui voudraient l'en empêcher sont
des va-t-en-guerre invétérées l'Amérique
le premier d'entre eux et ne parlons
pas d'Israël le plus farouche opposant à l'Iran qui depuis 62 ans à fait de ses
voisins ses ennemis et bombarde ses populations, parce que ces dernières
s'opposent, avec leurs moyens, à son hégémonie.
[*]
Le plan d’expulsion « Daleth » il ajoute : « dès le début des années
1940, la direction du Yichouv a préparé l’expulsion des Palestiniens, puis, en
1947-1948, l’a mise en œuvre, étape après étape. Un fait parmi bien d’autres,
qui contredit la thèse de l’absence d’intention : la constitution, dès
avant la seconde guerre mondiale, d’un fichier de tous les villages arabes.
Recruté
pour s’en charger, un topographe de l’Université hébraïque de Jérusalem « suggéra
de conduire une inspection à l’aide de photographies aériennes ».
A cette époque la Palestine était sous Administration britannique. Le
« Mandat » pouvait-il l’ignorer… ?
Ainsi
furent constitués des dossiers détaillés sur chacun des villages de Palestine
avec : « les routes d’accès, la qualité de la terre, les sources,
les principales sources de revenu, la composition sociologique, les
affiliations religieuses, le nom des muktars [chefs], les relations avec
les autres villages, l’âge des habitants (hommes de 16 à 50 ans) et bien
d’autres choses ». La plus importante était « un index
de l’"hostilité" [à l’égard du projet sioniste] à partir du
niveau de participation du village à la révolte de 1936. Une liste comportait
quiconque y avait pris part et les familles de ceux qui avaient perdu quelqu’un
dans les combats contre les Britanniques. Une attention particulière était
prêtée aux gens qui avaient prétendument tué de juifs ». En 1948,
cette dernière information « alimentera les pires atrocités dans les
villages, conduisant à des exécutions de masse. En 1943, Ezra Danin, qui jouera
cinq ans plus tard un rôle de dirigeant dans l’épuration ethnique, « de
manière explicitement militaire : le nombre de gardes (la plus part
des villages n’en avaient aucun) et les quantités et qualité des armes à
la disposition du village (en général archaïques ou même absentes).
[**] Déclaration Balfour : "Le gouvernement de Sa Majesté envisage
favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple
juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet
objectif, étant clairement entendu, que rien ne sera fait qui puisse porter
atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non juives
existant en Palestine, ni aux droit et au statut politique dont les juifs
jouissent dans tout autre pays."
1e.
"prévarication" :
La
déclaration Balfour, est un arrangement entre lord Balfour, représentant du
Gouvernement de sa Majesté et lord Rothschild, représentant de l'organisation
sioniste mondiale. C'est-à-dire entre deux entités privées, qui n'ont aucun
mandat international, pour décider à la place du Peuple de Palestine.
Cela, qu'on le veuille ou
non, s'appelle COMPLOT.
2e "
prévarication " :
La
déclaration Balfour à été ajouté aux
accords Sykes-Picot lors de la Conférence
de San Remo. Le sort final de la Palestine est
décidé par le Conseil Suprême des Alliés. Un rapport du Royal Institute of
International Affairs (RIIA) donne le compte rendu suivant :
"Pour reconnaître la
validité des arrangements Sykes-Picot il fallait l’accord franco-anglais
concernant l’ensemble des territoires turcs, à la suite d’un compromis
intervenu entre Clemenceau et Lloyd Georg, la Palestine, qui devait être
d’après le plan Sykes-Picot placée sous administration internationale, passa
finalement d’un commun accord sous tutelle britannique." Sans
que la Société des Nation (SDN) eut son mot à dire.
3e "
prévarication " :
Résolution
sur la partition de la Palestine. Au terme de pressions scandaleuses sur
les pays du Tiers Monde, les USA font adopter un plan de partage de la
Palestine (29 novembre 1947).
Les Juifs, qui possèdent 6,5% du sol et constituent 35% de
la population, recevront les 56% de la Palestine et ses terres les plus
fertiles.
4e "
prévarication "
Si les
juifs ont gardé leur statut dans leur pays d'Origine, les palestiniens sont
devenu des parias dans leur propre Etat. Parce que cela arrange les juifs ; les sionistes ; la communauté
occidentale : la résistance du Peuple palestinien est qualifié par ces êtres à
l'état de conscience douteux, de terrorisme. Et a ce titre les criminels
sionistes, cautionnés par les criminels par procuration que sont les dirigeants
occidentaux, s'autorisent à les assassiner ; les bombarder ; araser leurs terres arables ; détruire leur
habitat ; les emprisonner sous le régime dit : "arrestation
administrative" que le très "démocratique" gouvernement de
salauds limité à six mois, mais il s'empresse de dire qu'il peut être
renouvelle indéfiniment. C'est ainsi qu'il y a dans les geôles, juives
d'Israël, des prisonniers sans acte d'accusation, sans preuves, sans procès, en
prison en point c'est tout, depuis plus de trente ans. Sans parler des
incendies d'oliviers, j'en passe et des meilleures.
Et il se
trouve encore aujourd'hui une intelligentsia remarquable par sa connerie qui
dit : "Israël à le droit de se défendre" ou des journalistes pour débiles qui estiment la présence sioniste en
Palestine légitime !!!
Le sionisme
est un cancer propagé par des êtres qui pensent que l'influence des lobbys
Juifs peut satisfaire leur cupidité et favoriser leurs carrières. Je parle de
l'influence des Juifs mais il fait tenir compte d'une chose importante :
"Tous les Juifs ne sont pas sionistes et tous les sionistes ne sont pas
Juifs" C'est à dire que si une majorité de Juifs, pour des raisons que nous
pourrions comprendre, soutiennent Israël, tous les Juifs ne cautionnent pas les
crimes que commet le sionisme. Cela étant dit, il y a dans le monde autant de
criminels par procuration qui soutiennent le sionisme, que de terroristes qui s'y opposent.
Tant qu’Israël existera, c'est une évidence, il ne pourra pas y avoir la paix dans le monde. Les pays les plus couards, qu'ils soient par ailleurs Arabes ou non, concluront des accords avec l’état va-t-en-guerre, aujourd'hui la Jordanie qui prévoir de permettre à Israël de produire des biens sous son sol et lui permettre de les vendre sous le label: "fabriqué en Jordanie" ou l’Europe de permettre à Israël de vendre ses produit sur son sol, il est évident que la paix ne pourra pas s'installer dan sun monde ou la trahison est la valeur de référence...
Tant qu’Israël existera, c'est une évidence, il ne pourra pas y avoir la paix dans le monde. Les pays les plus couards, qu'ils soient par ailleurs Arabes ou non, concluront des accords avec l’état va-t-en-guerre, aujourd'hui la Jordanie qui prévoir de permettre à Israël de produire des biens sous son sol et lui permettre de les vendre sous le label: "fabriqué en Jordanie" ou l’Europe de permettre à Israël de vendre ses produit sur son sol, il est évident que la paix ne pourra pas s'installer dan sun monde ou la trahison est la valeur de référence...
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