lundi 2 avril 2018

Les difficultés du rail, comme...




Les difficultés sont crées pour faire accepter ce que normalement nous aurions refusé. Cette réalité concerne tous les domaines.

Si vous pensez que les dirigeants politiques, économiques l'ignorent c'est que vous vivez au pays des "bisounours".

Aujourd'hui nous devons faire face à une nouvelle grève, et on peut entendre ça et là des membres de ce gouvernement ou affiliés pour nous rabâcher les difficultés que rencontre la SNCF. Dans les années soixante  et jusque dans les années quatre-vingt, je me souviens, les trains arrivaient à l'heure à la minute près. Le réseau français était envié par nos voisins, le train à grande vitesse (TGV) le plus performant au monde… Ce n'est qu'a partir ou a été ancrée, signe les accords de principe, de la privatisation du rail que les difficultés ont commencée à pointer leur "nez".  On ne nous prendrait pas un petit peu pour des ânes bâtés?


D'ailleurs, si vous vous donnez la peine de faire un peu d'introspection sociétale, vous remarquerez aisément que: toute entreprise évoque des difficultés réelles ou inexistantes, avant un plan social. Y compris lorsque la maison maire fait d'énormes bénéfices ou quelle cherche à délocaliser,  il y en a même qui bénéficiaires, prévoient un plan social pour des difficultés à venir, conjoncturelles ou provoqués.

Cette réalité incontournable prépare l'avenir, lorsqu'on parle d'avenir on inclue psychologiquement un meilleur avenir. C'est vrai, mais quel avenir?
Ils disent avenir, terme générique, qui concerne qui?
Nous avons maintenant l'expérience pour affirmer quelle ne concernent pas les populations bien au contraire, puisque la plupart des mesures se révèlent, a moyen terme de véritables pièges pour les citoyens… 


https://docs.google.com/presentation/d/1BW8RWjxEiBwX5EI1oH563pHfwg2cfJlSLZpGTGOXmH4/edit#slide=id.p3

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