samedi 7 décembre 2019

Un point sur les retraites.




Lorsqu'on parle d'école, de Santé, de Sécurité Sociale ou retraite, comme pour la la défense (j'ai bien dit: Défense = Sécurité nationale, j'ai bien dit Nationale) la rentabilité devrait passer au second plan. Une nation n'est pas n'en déplaise aux escrocs internationaux, un commerce qu'il faut rentabiliser, c'est parce que vous (les escrocs internationaux) voulez rentabiliser vos avoirs, que le monde est une poudrière ... 

Comment peut-on chercher à instaurer un système de retraite par points, sans mettre en place des « garde-fou » qui fassent honneur à la devise française. 
L'égalité proposé par ce Gouvernement est en réalité un nœud coulant sur le cou des petits salaires. 

Il est vrai que les retraites complémentaires donnent une valeur au point pour son calcul. Cela devrait suffire aux esclavagistes pour se constituer un montant en rapport avec leur train de vie pharaonique.

Mais lorsque l’on parle de retraite universelle, il faudrait avoir la décence de faire en sorte que ceux qui permettent aux pharaons de vaguer en TGV, puissent au moins prendre le tortillard.


Si je prends l’exemple des grands patrons avec les retraites dorées, leurs indemnités équivalent à des centaines d’années de SMIC, il faudrait avoir la décence d’accorder à ceux qui leur ont permis de construire les pyramides, après des salaires miséreux, une retraite convenable.

Que l’on m’explique ce que les « pharaons » auraient réalisé de leur vie, s’ils n’étaient pas, nés avec une cuillère en argent dans la bouche ou s’ils n’avaient pas marché sur des cadavres. [Selon le dicton des grandes écoles commerciales qui veut : « qu’il faille marcher pour des cadavres, pour réussir »]. 
Etes-vous sur que c’est au figurée ?

Quelle différence il-y-t ’il entre le grand banditisme et la confrérie des pharaons et écureuils ?
·      Les premiers, assument leurs crimes. Exploitent les failles du système hors la loi.
·      Les seconds, n’assument pas leurs crimes et leur malhonnêteté et achètent les consciences des dirigeants des Etats, soi-disant démocratiques, pour justifier leurs « magouilles ».
-   Bien entendu, les Etats qui refusent, la propagande se charge de dénoncer : leur « dictature », leur « terrorisme », leurs « manquements au Droit de l’homme, aux Droit international » ... en passant, bien entendu, leurs manquements pharaoniques, par pertes et profits…      






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