Finale de la Super Coupe d'Espagne, à la mode franquiste.

 

La fédération espagnole de Foot remercie l'arbitre le plus hypocrite que les franquisme n'avait pas produit. 

La finale de la Super Coupe d’Espagne, fut un super match. Il faut reconnaitre cependant que le football du Barça et de Atletic Bilbao sont deux visions de ce sport opposées. L’une plus technique l’autre plus physique, mais le « hic » de cette finale c’est  que l’Atletic a pratiqué un football que l’on pourrait assimiler à un jeu entre le Foot et le Rugby où les placages et obstructions on fait partie du jeu tout au long du match sans que l’arbitre ne les sanctionne comme il se doit, c’est-à-dire comme de l’anti jeu et donc sanctionnés par un carton et aussi bizarre que cela paraisse aucun ne l’a été sauf un en fin de match, quand la casi totalité des joueurs de l’Atletic auraient dû être sanctionnés et la moitié d’entre eux par un "carton".

Jeus Gil Manzano

Il n’y a là rien de nouveau dans cet arbitrage c’est un héritage qui date du franquisme. C'est politique ? Je ne sais pas. L'attitude de Jeus Gil Manzano n'est pas celle d'un arbitre impartial, mais celle d'un homme qui en plus d'être un hypocrite et un voyou, qui n'applique pas les règles du Football, c'est un homme sans envergure qui se sert de la petite "autorité" que son métier confère pour se grandir intellectuellement et psychologiquement. Autrement dit c'est une merde.   

C’est une évidence, les opinions sont souvent favorables au plus faible et lorsqu’on est une « grande équipe » on est jugée plus sévèrement, sans doute. Mais les limites sont les limites qui ne peuvent se départir de ce qui est juste. Trop souvent et en particulier hier soir, le commentateur du journal l’Equipe, malgré ses efforts pour paraitre impartial eut des réflexion particulières, qui reflètent une rancœur, vis vis du Barça ou de qu'il n'a pas pu être. 

Je ne citerai que trois exemples :   

1. Le but refusé à l’Atletic, était-il « hors-jeux » ou non ? Oui il l’était, dans ces conditions pourquoi le commentateur regrette son annulation pour une position « hors-jeux » de quelques centimètres ? De ses état d'âme on en a que faire. Une aventure semblable est arrive au Barça il y a tout juste quelques match. Omar da Fonseca admit la décisions sans épiloguer. 
2. Franki de Jonc, a subi une agression caractérisée  comme on le voit rarement sur un terrain de foot, ni même à un match de Rugby, sans que l’arbitre Jesus Gil Manzano s’en émeuvent.  
1. Un coup de tête manifeste, dans l’action on peut le croire, mais on a bien vu dans l'attitude du basque et de part sa violence: "la volonté de faire mal" (visionnez les images SVP). Atteindre la balle était impossible, ni de par sa position, ni de par son déplacement.  De Jong peut s'estimer heureux de ne pas avoir le nez cassé, puisque le coup a été porté à sa pommette. C’était une  faute réalisé sciemment cela ne fait aucun doute et inexcusable sur un terrain de foot et qui ne fut pas sanctionné avec sérieux.  
3. Messi reçut un carton rouge, avec raison sans doute, mais le commentateur comme Jesus Gil Manzano ont ignoré l’obstruction réalisé sciemment du basque, à l’origine de la gifle de Messi. Obstruction faute d'antijeu, sanctionné "normalement" par un carton, faute coupant la route de Messi et l’empêchant de poursuivre son action. Cette obstruction fut l'une des dernières, mais se fut celle qui fit déborder le "vase".  Et sans la cautionner on peut comprendre aisément l'exaspération de Messi. 

L’Atletic Bilbao vainqueur de la Super coupe. Espérons que cette équipe de bon joueurs et de catcheurs rencontre une autre équipe avec les mêmes dispositions, pour que l’on remarque que le Football ce n’est pas cela. 

En tout état de cause si M Jesus Gil Manzano arbitre de nouveau un match de Liga, cela voudra dire que le football en Espagne est corrompu.