Lettre au Président de la République

  M Le Président de la République française.

Antisioniste au point d'éprouver de l'aversion pour tous ceux qui par ignorance, cupidité, carriérisme, endoctrinement, manipulation ou stupidité, favorisent (comme le fait la France, l'Allemagne, les USA,  par exemple) et absolvent les crimes que cette idéologie commet. Car Israël n'est pas l’État angélique que l'on voudrait nous faire croire, le sionisme est à l'origine de ce conflit et porte par conséquent toute la responsabilité de l'antagonisme au Proche et Moyen-Orient. Comment peut croire qu'un État qui fait la guerre à tous ceux qui ne sont pas d'accord avec sa politique, est un État qui mérite d'être défendu ? Et si les sionistes sont rusés, ils restent des va-t-en-guerre sans scrupules où seul compte le bénéfice qu'ils peuvent tirer d'une situation. A contrario,  l'intelligence consiste à s'entendre avec celui qui, justement, n'a pas les mêmes intérêts que vous. Car si l'intelligence fait admettre un concept, la ruse berne celui qui accepte. 

Les "choses" étant clairement dites, je dois avouer que les clarifications sur la politique intérieure française mont paru rassurantes, je crains quelles restent, comme les promesses électorales depuis 30 ans,  une vision philosophique, pavé de bonnes intentions qui se déliteront tel les principes fondateurs de nos sociétés.

Vous êtes favorable à l'élargissement de l'assiette de cotisations sociales, vision sociétale qui ne peut que me réjouir, en effet, avants que aucun de ces experts,  à qui nous donnons si souvent la parole, je lavais  écrit, demandé, criée, réclamée cette disposition, depuis plus de 7 ans, j'ai "pesté" contre ces experts économiques ou présentateurs d'opérette, que, s'ils se plaignaient  du cout tu travail, n'avaient pas une seule fois esquissé la possibilité de l'élargissement de l'assiette à la spéculation (loto) quelle soit financière ou immobilière.

[Quoi de plus logique, que tout profit soit taxé de manière égale, qu'il émane du travail, de la plus-value ou de la spéculation... attendu que tous ses bénéficiaires de la taxe sociale  ne cotisent pas forcement, c'est donc une question sociétale et pas uniquement une protection sociale pour salariés.]

Il y a cependant un point que vous n'avez  pas abordée et qui me semble le plus important pour l'avenir, non seulement de la France  mais de l'humanité, qui est celui de la souveraineté des États et l'indépendance des populations. En effet : vous n'ignorez pas ou ne devriez ignorer, que le remboursement des intérêts de la dette est devenu  le premier poste de dépenses en France y compris après le budget de l'enseignement. IL parait même qu'une équipe de "technicients" payés par l’État, sont en charge de "lever" des capitaux, auprès des banques privés ! Alors que nous sommes dans l'impérieuse nécessite de nous désendetter, l’État qui devrait donner l’exemple, agit dans l'irresponsabilité la plus totale..., dans la prodigalité la plus dispendieuse.  
 Je ne suis pas économiste, mais j'ai suffisamment de bon sens pour comprendre  que cet argent (le fruit du travail d'une nation) que représentent ces intérêts va, directement dans des "poches" privées, c'est à dire que si vous cherchiez à aliéner les populations a des intérêts privés, a les rendre à la condition d'esclaves, vous ne vous y prendriez autrement. Mais il y a, aussi, sous les auspices de la globalisation rampante, l'aliénation des nations qui s'endettent avec la bénédiction de nos dirigeants, sommes-nous réellement intelligents ?  Comment peut-on aliéner les Nations  à la finance privé ! C'est purement et simplement un crime, comment peut-on prendre le risque de rendre à l'état d'esclave 60 ; 80 ; 500 millions d'êtres humains.

Vous affirmez emprunter à  2.5 % voir à des taux négatif,  continuer à emprunter est irresponsable, je ne parlait  pas du capital emprunté mais comme vous l'avez compris des intérêts. Comment est-il   possible que des hommes élus pour gérer la chose publique aient, ainsi, livré nos États au MARCHE privé ?   C'est absurde et si vous avez, dans votre discours, esquissé la volonté de mettre les banques dans le droit "chemin" pour quelles  se réorientent sur l'objectif pour lesquelles elles ont été créées, à quoi cette bonne intention servirait, tant que ces "banques" tiendront la souveraineté des États dans leur "paume", il n'est pas difficile d'imaginer que toutes les politiques mises-en-place, seront autant de pièges pour les citoyens auxquels vous avez fait le serment de défendre.  Aujourd'hui si je ne me trompe la dette par habitant, est d'environ de 30.000 euros.  Comment en est-on arrivé là ? Cela prouve que nous élisons de gens qui ne nous veulent pas du bien. Et les conflits qu'ils engendrent le sont pour des intérêts inavoués.  (Conflits, politiques ou sociétaux) Le chômage contrairement à vos dires, tant que les politiques consisteront a favoriser ces intérêts privés, le chômage des populations  continuera de se poursuivre. C'est une évidence. Jusqu’à quand..., là est la question. 

Ce qui me parait évident, c'est que nous

ne sommes plus dans un système de gouvernance démocratique, mais dans une dictature de l'argent,

où des criminels on le droit de cite.
On est là dans la déconstruction sociétale 
prôné par Heidegger et vulgarisé par Derrida,
c'est-à-dire, que la vision des dirigeants politiques 
est quasi inexistante. 
Où alors il faudrait admettre qu'ils soient complices avec l'idéologie supranationale qui voudrait utiliser 
les Nations comme un bien personnel.  

 

 Cette Europe là ne nous veut pas du bien. 

Car elle finance et s'accoquine avec des va-t-en-guerre.

Israël équipe de têtes nucléaires des sous-marins qui lui sont fournis par l'Allemagne.Et l'Allemagne le sait depuis des années, révèle, à la Une, l'hebdomadaire Der Spiegel.

L'Aemagne réalise 80% de ses exportation en Europe, la ré-unification allemande le fut grâce à l'Europe et aujourd’hui Mme Merckel voudrait nous donner de leçons !

 (Pourquoi prendraient-ils (les banques, les tenants de la finance) des risques à prêter aux entreprises au particulier quand elles prêtent aux États en attente -comme le font les vautours- de leur déconfiture,  s'emparer des services régaliens des États et par leur mainmise sur l'économie nationale, nous rendre à la condition d'esclaves..., nous le voyons bien pour payer ces escrocs, nous perdons les uns après les autres les avantages humains acquis de haute lutte.)

Cette Europe là, n'est pas celle voulue par ces pères...  Cette Europe là comme la mondialisation qui nous est imposée, fait allégeance à ces escrocs.