Bases militaires US autour de la Russie et de l’Iran !!!
C'est l'hégémonie US qui est le vrai danger pour le monde ?
Nucléaire
Iranien.
Texte de France27 ; France-Info sur
les faits rien que les faits, ce qui pour un média, c'est déjà pas si mal.
Mais moi j'ai le droit de développer
mon opinion, et j'affirme que ces deux personnages sont de "guignolos".
Car ils veulent imposer leur justice et la JUSTICE ne s'accommode pas d'arrangements.
Ces deux hypocrites, je ne vois pas comment les qualifier autrement puisque ce
qui est mauvais pour l'Iran est bon pour Israël ! Il y a donc deux poids deux mesures,
tout aussi inacceptables pour un homme loyal qui exècre le mensonge et la
stupidité.
Israël entrée dans le club nucléaire
par la petite porte (illégalement) n'a pas signé, contrairement à l'Iran, les
accords de l'AIEA, et de ce fait les installations israéliennes ne peuvent être
contrôlées. Mais le guignol de service se tait. Non seulement se tait mais
voudrait faire en sorte qu'a moyen ou long terme l'Iran ne puisse accéder à
l'arme de dissuasion par excellence qu'est l'arme nucléaire. Et là est la seule
motivation compréhensible, car en effet Trump suppôt d'Israël tente d'empêcher l'Iran
d'entrer en possession de l'armée nucléaire, au risque de devoir réformer sa
politique criminelle pour Israël, hégémonique pour les USA, l'Occident en
général, la France en particulier, qui devrai faire attention avant de tenter
de renverser le dirigeant d'un Etat souverain.
Que contient l'accord de 2015 avec
l'Iran ?
Le
14 juillet 2015, après vingt-et-un mois de négociations, un terrain d'entente
est trouvé. Historique. L'Iran et six grandes puissances mondiales – les
Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, la Russie et la Chine –
signent ainsi un accord pour encadrer le programme nucléaire iranien. Le sujet
était une source de tensions depuis 2002 et des images satellite révélant
l'existence de sites nucléaires secrets en Iran, faisant craindre que le pays se
dote de l'arme atomique.
Dans
ce texte, l'Iran s'engage alors à abaisser pendant plusieurs années ses
capacités nucléaires, en réduisant notamment le nombre de ses
centrifugeuses en activité capables d'enrichir de l'uranium. Une façon de
rendre quasi impossible la fabrication d'une bombe atomique par Téhéran, tout
en l'autorisant à mettre en place une filière de nucléaire civil.
L'accord
autorise aussi le contrôle régulier des sites nucléaires iraniens par l'Agence
internationale de l'énergie atomique (AIEA). Des points qui ont tous été
respectés jusqu'ici. En échange, les autres signataires s'engageaient à
lever une partie des sanctions qui pesaient sur le pays, ce qui a aussi été
fait depuis l'entrée en vigueur du deal en janvier 2016, ouvrant la
porte à des investissements étrangers dans le pays.
Que reproche Donald Trump à
ce texte ?
L'accord,
conclu sous la présidence de Barack Obama, a été décrié dès sa signature
par celui qui lui a ensuite succédé. Pendant sa campagne, le candidat
Donald Trump promettait ainsi de "déchirer" le texte, qu'il
qualifie de "pire accord jamais conclu". Le 12 janvier dernier,
le président américain a exigé que les Européens trouvent une solution, d'ici
le 12 mai, pour "remédier aux terribles lacunes" du
texte, sinon il rétablira les sanctions économiques contre Téhéran.
Donald
Trump, qui a encore répété mardi qu'il trouvait l'accord actuel "insensé" et "ridicule",
doute de son efficacité pour empêcher l'Iran de développer l'arme
nucléaire. Il souhaiterait qu'il soit possible d'inspecter de façon plus
poussée les sites iraniens, et que les restrictions temporaires aient
une durée plus longue (certaines expireront en 2025). Le président des
Etats-Unis s'agace également de voir Téhéran développer des missiles
balistiques et gagner en influence au Moyen-Orient, fournissant un soutien
précieux au régime syrien, explique Politico (en
anglais).
Autant
d'aspects qui ne sont pas concernés par l'accord de 2015. "Ils
auraient dû faire un accord qui couvrait le Yémen, qui couvrait la Syrie, qui
couvrait d'autres parties du Moyen-Orient où l'Iran est impliqué", a
expliqué Donald Trump mardi lors de sa
conférence de presse avec Emmanuel Macron. Il n'a d'ailleurs pas promis de
maintenir la levée des sanctions en échange d'un nouvel accord : "Personne
ne sait ce que je ferais le 12 mai", a-t-il assuré.
Emmanuel Macron partage-t-il ces
critiques ?
"Il
n'y a pas de mystère pour dire que nous n'avons pas les mêmes positions de
départ sur ce point", a reconnu Emmanuel Macron, mardi, à la Maison
Blanche. Dimanche, à la veille de son arrivée à Washington, il affirmait à la
chaîne américaine Fox News qu'il n'y avait "pas de plan B pour le
nucléaire contre l'Iran", tout en reconnaissant que le texte était "imparfait".
Pour le président français, négocier un nouvel accord représente un compromis
entre sa position et celle de Donald Trump : "On ne déchire pas
un accord pour aller vers nulle part. Il faut construire un accord sur l'Iran
plus large."
Le
président français a proposé de baser les négociations concernant un
nouvel accord sur quatre grands axes : maintenir l'interdiction d'enrichir
de l'uranium ; s'assurer "qu'il n'y ait pas d'activité nucléaire
iranienne à long terme", même après l'expiration des
clauses en 2025 ; mettre fin aux programmes de missiles
développés par l'Iran ces dernières années ; et poser dans cet accord "les
conditions d'une solution politique (...) au Yémen, en Syrie, en Irak et au
Liban" incluant les Iraniens.
Impliqué
au côté du régime en Syrie et des rebelles au Yémen, l'Iran soutient
aussi le Hezbollah au Liban, groupe considéré comme terroriste par les
Etats-Unis. Le nouvel accord proposé par Emmanuel Macron ne reviendrait donc
pas sur les dispositions du précédent, mais élargirait les négociations à d'autres
sujets, ceux réclamés par Donald Trump. Mais l'annonce a été boudée par le
président iranien Hassan Rohani, la cheffe de la diplomatie
européenne ainsi que le porte-parole du Kremlin, très partagés quant
à une réflexion autour d'un nouveau texte.
Tout cela pour maintenir six millions d'êtres humains,
à la merci de psychopathes schizophréniques...
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