mercredi 25 avril 2018

Nucléaire Iranien ... Les Branquignoles cherchent querelle.



Bases militaires US autour de la Russie et de l’Iran !!!
C'est l'hégémonie US qui est le vrai danger pour le monde ?

Nucléaire Iranien. 

Texte de France27 ; France-Info sur les faits rien que les faits, ce qui pour un média, c'est déjà pas si mal.

Mais moi j'ai le droit de développer mon opinion, et j'affirme que ces deux personnages sont de "guignolos". Car ils veulent imposer leur justice et la JUSTICE ne s'accommode pas d'arrangements. Ces deux hypocrites, je ne vois pas comment les qualifier autrement puisque ce qui est mauvais pour l'Iran est bon pour Israël ! Il y a donc deux poids deux mesures, tout aussi inacceptables pour un homme loyal qui exècre le mensonge et la stupidité.

Israël entrée dans le club nucléaire par la petite porte (illégalement) n'a pas signé, contrairement à l'Iran, les accords de l'AIEA, et de ce fait les installations israéliennes ne peuvent être contrôlées. Mais le guignol de service se tait. Non seulement se tait mais voudrait faire en sorte qu'a moyen ou long terme l'Iran ne puisse accéder à l'arme de dissuasion par excellence qu'est l'arme nucléaire. Et là est la seule motivation compréhensible, car en effet Trump suppôt d'Israël tente d'empêcher l'Iran d'entrer en possession de l'armée nucléaire, au risque de devoir réformer sa politique criminelle pour Israël, hégémonique pour les USA, l'Occident en général, la France en particulier, qui devrai faire attention avant de tenter de renverser le dirigeant d'un Etat souverain.         

Que contient l'accord de 2015 avec l'Iran ?
Le 14 juillet 2015, après vingt-et-un mois de négociations, un terrain d'entente est trouvé. Historique. L'Iran et six grandes puissances mondiales – les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, la Russie et la Chine – signent ainsi un accord pour encadrer le programme nucléaire iranien. Le sujet était une source de tensions depuis 2002 et des images satellite révélant l'existence de sites nucléaires secrets en Iran, faisant craindre que le pays se dote de l'arme atomique.

Dans ce texte, l'Iran s'engage alors à abaisser pendant plusieurs années ses capacités nucléaires, en réduisant notamment le nombre de ses centrifugeuses en activité capables d'enrichir de l'uranium. Une façon de rendre quasi impossible la fabrication d'une bombe atomique par Téhéran, tout en l'autorisant à mettre en place une filière de nucléaire civil.

L'accord autorise aussi le contrôle régulier des sites nucléaires iraniens par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Des points qui ont tous été respectés jusqu'ici. En échange, les autres signataires s'engageaient à lever une partie des sanctions qui pesaient sur le pays, ce qui a aussi été fait depuis l'entrée en vigueur du deal en janvier 2016, ouvrant la porte à des investissements étrangers dans le pays.


Que reproche Donald Trump à ce texte ?
L'accord, conclu sous la présidence de Barack Obama, a été décrié dès sa signature par celui qui lui a ensuite succédé. Pendant sa campagne, le candidat Donald Trump promettait ainsi de "déchirer" le texte, qu'il qualifie de "pire accord jamais conclu". Le 12 janvier dernier, le président américain a exigé que les Européens trouvent une solution, d'ici le 12 mai, pour "remédier aux terribles lacunes" du texte, sinon il rétablira les sanctions économiques contre Téhéran.

Donald Trump, qui a encore répété mardi qu'il trouvait l'accord actuel "insensé" et "ridicule", doute de son efficacité pour empêcher l'Iran de développer l'arme nucléaire. Il souhaiterait qu'il soit possible d'inspecter de façon plus poussée les sites iraniens, et que les restrictions temporaires aient une durée plus longue (certaines expireront en 2025). Le président des Etats-Unis s'agace également de voir Téhéran développer des missiles balistiques et gagner en influence au Moyen-Orient, fournissant un soutien précieux au régime syrien, explique Politico (en anglais).

Autant d'aspects qui ne sont pas concernés par l'accord de 2015. "Ils auraient dû faire un accord qui couvrait le Yémen, qui couvrait la Syrie, qui couvrait d'autres parties du Moyen-Orient où l'Iran est impliqué", a expliqué Donald Trump mardi lors de sa conférence de presse avec Emmanuel Macron. Il n'a d'ailleurs pas promis de maintenir la levée des sanctions en échange d'un nouvel accord : "Personne ne sait ce que je ferais le 12 mai", a-t-il assuré.


Emmanuel Macron partage-t-il ces critiques ?
"Il n'y a pas de mystère pour dire que nous n'avons pas les mêmes positions de départ sur ce point", a reconnu Emmanuel Macron, mardi, à la Maison Blanche. Dimanche, à la veille de son arrivée à Washington, il affirmait à la chaîne américaine Fox News qu'il n'y avait "pas de plan B pour le nucléaire contre l'Iran", tout en reconnaissant que le texte était "imparfait". Pour le président français, négocier un nouvel accord représente un compromis entre sa position et celle de Donald Trump : "On ne déchire pas un accord pour aller vers nulle part. Il faut construire un accord sur l'Iran plus large."

Le président français a proposé de baser les négociations concernant un nouvel accord sur quatre grands axes : maintenir l'interdiction d'enrichir de l'uranium ; s'assurer "qu'il n'y ait pas d'activité nucléaire iranienne à long terme", même après l'expiration des clauses en 2025 ; mettre fin aux programmes de missiles développés par l'Iran ces dernières années ; et poser dans cet accord "les conditions d'une solution politique (...) au Yémen, en Syrie, en Irak et au Liban" incluant les Iraniens.
Impliqué au côté du régime en Syrie et des rebelles au Yémen, l'Iran soutient aussi le Hezbollah au Liban, groupe considéré comme terroriste par les Etats-Unis. Le nouvel accord proposé par Emmanuel Macron ne reviendrait donc pas sur les dispositions du précédent, mais élargirait les négociations à d'autres sujets, ceux réclamés par Donald Trump. Mais l'annonce a été boudée par le président iranien Hassan Rohani, la cheffe de la diplomatie européenne ainsi que le porte-parole du Kremlin, très partagés quant à une réflexion autour d'un nouveau texte.


Tout cela pour maintenir six millions d'êtres humains, 
à la merci de psychopathes schizophréniques...




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