dimanche 5 janvier 2020

Discours présidentiel de fin d'année et langue de bois.


C'est vrai que pour un élevé moyen il a pas mal réussi. Grâce à qui ... ?


“Le contraire de la misère ce n’est pas la richesse. Le contraire de la misère, c’est le partage.”
Abbé Pierre / discours au Palais des Congrès de Paris, 23 novembre 1984

Dans le discours présidentiel de fin d’année pour la nouvelle année, Emmanuel Macron utilise, comme trop souvent chez les élus, la « langue de bois » usant d’une sémantique trompeuse et déloyale, oubliant que c’est son attitude, ses prises de positions, au bénéfice unilatéral, qui « met » les français dans la rue. Il oppose les différentes composantes de la société française, et comme toujours se dédouane de ses propres responsabilités et comble de la duplicité, il prend à témoin nos enfants, comme si ces derniers devaient cautionner sa politique partisane. Cet homme a l’arrogance chevillé au corps, mais qu’il le sache, si ses adeptes sont endoctrinés, les français ne sont pas dupes.
Dire ce que les français veulent entendre sans intention de s’y soumettre, est la seule stratégie compréhensible de Emmanuel Macron, face à la prévarication, l’amateurisme, la duplicité d’un Gouvernement antidémocratique pour qui la contestation est insupportable. La crise des Gilets-Jaunes nous a révélé la véritable identité du marcionisme, le fanatisme de ses valets, membres du Gouvernement, députés …, tous au service des mensonges que le grand capital que le libéralisme exige. Et l’ancien Directeur de Macron à la Banque Rothschild, Chantre fondateur de la Trilatérale, aura du mal à en disconvenir. 

Il y a déjà quelque temps que cette sémantique hypocrite a envahi les discours de nos dirigeants, aujourd’hui c’est « Démocratie représentative » qui depuis quelques jours déjà, est le leitmotiv de ceux qui, finalement, doutant de leur bon droit. Cette sémantique n’a pas d’autre objectif que de tromper le français en laissant croire qu’un élu n’a plus besoin d’agir dans l’intérêt de la France et donc des français. En effet :
·         Nous savons tous ce que le mot Démocratie veut dire,
o   « Pour et par le Peuple »
·         Mais le mot Représentative ?
o   D’après l’utilisation qui en est faite cela équivaut à « vous m’avez élu, je fais ce que je veux ». En quelque sorte, un cheque en blanc.

Le premier Ministre l’a utilisé, pour justifier la fermeté gouvernementale face au mécontentement populaire. L’intérêt de la Nation et de ceux qui la composent, est un concept, apparemment, étrange pour ce genre de personnages.
   
Cependant, quand je dis : je fais ce que je veux, n’est pas tout à fait exact, attendu qu’ils ont la caution de leurs conseillers et commanditaires, quelquefois les deux.  C’est ainsi que les très riches le deviennent d’avantage et les autres s’appauvrissent de droit. Résistant plus ou moins bien, en fonction de leur situation d’origine.

Ces élus qui affirment nous représenter ! Ils ne représentent que l’idéologie à laquelle ils se sont soumis, par carriérisme, cupidité ou manque de valeur personnelle. Car la chose est prouvée, la courbe de l’enrichissement et celle de l’appauvrissement, deviennent, a un moment, exponentielles. Et si la base s’élargit, le sommet se rétrécit. Créant le phénomène bien connu des grandes dynasties, civilisation et communautés dominantes, celui de la désintégration.

L’exemple de la sémantique utilisé par Macron, met en lumière la capacité de nuisance à l’idée, qui appartenait à l’esclave, qu’il y aurait des individus détenant des droits sur les autres hommes.

Nos élus sont si inconséquents dans leur vision sociétale, qu’ils obéissent à des principes à l’opposée même de ce qu’est la Démocratie avec l’argument manipulateur : « faire avancer la société ». Face aux difficultés engendrées, et au refus des populations, doivent céder au corporatisme dont ils, ces manipulateurs élus, en ont besoin : la Police, l’armée. Ces deux éléments sont les composantes indispensables à la réussite de la DICTATURE.

Car en effet, croire que le gain d’une élection ou qu’un renversement du pouvoir, par la violence ou la manipulation, [comme se fut le cas pour Macron] est un chèque en blanc, est le principe même de la DICATATURE.      

Ce même Premier ministre tançait les grévistes, après le Gilets jaunes d’ailleurs, sur le fait qu’ils seraient une minorité gênant la population, utilisait une sémantique malhonnête et faisait la comparaison entre le nombre de grévistes et la population française, oubliant de préciser que le « macronisme » a été élu avec 9 millions de voix contre soixante-dix millions de français.

C’est cette vision, ces manipulations incessantes, de la société, du monde, cet irrespect de MAJORS, élus ou gens influents qu’il faudra réduire, sinon gommer.
Le monde ne peut plus faire face à sa destruction pour le bénéfice de quelques-uns, n’acceptons pas que nos enfants meurent pour la défense de leurs intérêts. Sans cette vision du monde la POLUTION serait anecdotique et les GUERRES ECONOMIQUES quasi inexistantes.

Quant à leur situation personnelle des élus varie en fonction de leur soumission. Ceux qui résistent à la manipulation ambiante, comme celle des journalistes d’ailleurs, sont vilipendés et doivent craindre l’accusation réelle ou apocryphe, des véritables maitres du jeux. Le but étant de les éliminer, au propre comme au figuré, sur le plan National (adversaire politique) et International (adversaire idéologique et si son sous-sol est riche, le risque est encore plus grand).
    
 « La violence n’engendre que la violence. On sait bien qu’il n’y a pas de limite aux actes odieux commis par les hommes, leur sauvagerie, leurs boucheries…
Rien de tout cela n’est acceptable. ’’Heureux les débonnaires, car ils hériteront de la terre’’, lit-on dans la Bible. » Sans doute… mais en attendant, le monde dont nous avons hérité est celui des massacres, mensonges et false-flags, (attaques contre sa propre bannière) pour les justifier.

En France, depuis dix ans, le droit de manifester est grignoté par une succession de mesures, souvent détournées de leur objectif initial, qui permettent la répression des militants et la limitation des rassemblements. ASI fait le point sur la genèse de ces textes, votés sous Sarkozy, Hollande et Macron.
La Police et l’armée ne sont pas concerné par la réforme des retraites. La Police et l’Armée, c’est exactement ce dont a besoin la Dictature.


La France n’est pas réformable, disent-ils ! C’est une évidence, puisque :
« Charité bien ordonnée commence par soi-même. »
1.   Que deviennent les avantages cumulés des élus ?
2.   Que deviennent le trafic d’influence des élus ?
3.   Que deviennent les niches fiscales ?
4.   Quel est temps doivent cotiser les élus ?
5.    

Depuis quarante ans aucun dirigeant n’a eu le courage d’examiner les réels obstacles. La norme d’ajustement a toujours été de mettre en cause les acquis salariaux.

Emmanuel Macron ne fait pas mieux, on peut même dire pire, puisque les riches le deviennent d’avantage et que les classes salariées s’appauvrissent. Il nous ment avec un tel aplomb et arrogance qu’on est droit de se demander si sa morale est acceptable en Démocratie. 

Si nous « populations occidentales » ne parvenons pas a élire des dirigeants honnêtes, avec une morale civique et une vision du monde apaisée, nous ne parviendrons pas a stopper ces criminels au service d’une idéologie criminelle, qui se font élire sous des auspices démocratiques.

Aujourd’hui un candidat qui dans son discours fait des « courbettes » à Israël aux USA, vous pouvez être sur qu’il trahira la Nation et ses populations.


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