Préambule à l'allocution

 

Si vous écoutez l’allocution télévisé d’Emmanuel Macron, souvenez-vous, qu’il vous dira ce que vous voulez entendre sans jamais avoir l’intention de le réaliser. La manipulation que nous subissons depuis bientôt 5 ans n’a pas d’autre justification que la sémantique utilisée pour nous tromper.

Vidéo: 

Libérez-vous le cerveau 

https://www.youtube.com/watch?v=HFAzxA-grmU

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Il y a quelques jours j’écrivais :

Si j'avais de l'admiration dès que j'apercevais le Général de Gaulle, c'est de la répulsion en apercevant l'actuel amphitryon de l'Elysée.

Lors de la dernière allocution télévisée de l’Hôte de l’Elysée, je me suis demandé : « Comment peut-on mentir avec autant d’aplomb ? » Et me rappelais que, tel que l’on lui avait recommandé, il devait dire ce que les gens veulent entendre. Cet homme est sans conteste un communiquant, mais en aucun cas un homme politique sincère puisqu’il n’a jamais eu l’intention de réaliser ce qu’il déclarait.

Là, je me suis avancé un peu, car en effet : Emmanuel Macron a réalisé, tout et au-delà, de ce qui avait été convenu avec ses bailleurs-de-fonds.

Là où je veux en arriver, est très simple. Une nouvelle fois Emmanuel Macron utilise sa fonction, non pour les besoins du pays ou des français, mais en vue de ses intérêts personnels. La "vaccinologie" à quelle nous devons faire face en est le témoignage. 

Pourtant il existe une palette médicale efficace pour traiter le virus du Covid19 sans que les « laboratoires » réalisent les 35 milliards d’Euros de bénéfice (la moitié du PIB français) pour un vaccin qui ne protège pas la personne à qui on l’a inoculé, ni ses contacts et lorsque on nous dit que le vaccin parvient a diminuer la gravité de l’infection aucune preuve scientifique n’est apportée.

Aujourd’hui nous savons que cette pandémie a été traité en dépit du bon sens. Que le virus n’est pas létal et que la forme grave n’atteint que les personnes affaiblies par l’âge ou une pathologie.

En deux mots : « la vaccination est une affaire de gros sous. Le reste c’est de la littérature d’escroc ».