vendredi 18 février 2022

Contestation au Canada: des leaders du mouvement interpellés à Ottawa




Des policiers déployés dans les rues d'Ottawa, le 17 février 2022 au Canada
afp.com - Ed JONES


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Mon avis :  

Si nous n'avons pas compris que nous devons faire face à un complot au plan international de personnes qui s'autoproclament les "maitres du monde" et pour  la mise en place d'un gouvernement mondial fomenté par le Groupe Bilderberg et dont parmi les armes utilisées il y a les laboratoires, avec leur vaccins en vue de la numérisation des êtres humains  ; la cooptation des dirigeants mis en place ou corrompus par eux, les sommes déversées ( incroyablement importantes ) sur les dirigeants politiques ; sur les  médecins ; personnel soignant les acceptant deviennent les responsables des injections qui permettront à terme de mettre l'humain sur QR Code visant à maitriser leur sante ou leur volonté. 

Il faut bien comprendre que la "doxa" coopte des êtres sans morale et sans étique pour diriger les "opérations de nettoyage".  

C'est la prédiction d'Aldous Huxley ou George Orwell.  

Si nous le permettons :  C'est que nous n'avons rien compris et nous ne parviendrons à rien, si nous n'en prenons pas conscience et unissons nos forces quelque soit notre couleur de peau, idéologie , nationalité nous n'avons pas d'autre choix , ni n'avons rein à attendre de nos dirigeants politiques actuels, qui sont devenus par leur stupidité ou leur cupidité des escrocs comme le monde n'a jamais eu à faire face. Les Gouvernement Canadien, Français ... sont à la solde des criminels ci-dessus cités.     



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"Si vous voulez partir de votre propre gré, c'est maintenant qu'il faut le faire", avait lancé aux manifestants dans l'après-midi le chef intérimaire de la police d'Ottawa Steve Bell, avertissant que ce week-end serait "bien différent des trois derniers".

Dans la soirée, la police a procédé aux premières arrestations: Tamara Lich, l'une des organisatrices du convoi dit "de la liberté", a été interpellée par la police, a indiqué dans un tweet le compte officiel du mouvement, vidéo à l'appui.

Sur les images, on la voit monter menottes aux poignets dans une voiture des forces de l'ordre, entourée de deux policiers, et crier à ses compagnons "Tenez bon".

Un peu plus tôt, un autre leader, Chris Barber, avait été interpellé, une arrestation dans le calme là aussi filmée et postée sur les réseaux sociaux par des membres du mouvement.

Pour la première fois depuis le début du mouvement, des groupes de policiers s'étaient positionnés en masse jeudi dans les rues d'Ottawa face aux contestataires et aux centaines de camions bloquant les rues.

"Nous sommes prêts à agir pour expulser les manifestants illégaux de nos rues", avait encore expliqué Steve Bell, parlant d'une intervention "imminente".

Un périmètre de sécurité a été érigé autour du centre-ville et une centaine de barrages permettent de contrôler les entrées dans la zone.

- Comptes bancaires gelés -

A quelques mètres de là, le Premier ministre Justin Trudeau a estimé jeudi matin que cette contestation n'avait plus rien de "pacifique", lors d'un débat historique à la Chambre des communes portant sur la mise en œuvre de la loi sur les mesures d'urgence, une disposition exceptionnelle invoquée lundi pour la deuxième fois de l'histoire du Canada en temps de paix.

"L'objectif de toutes les mesures, y compris les mesures financières prévues dans la loi sur les mesures d'urgence, est de faire face à la menace actuelle et de maîtriser pleinement la situation", a ajouté Justin Trudeau.

Dans une lettre adressée aux Premiers ministres des provinces mercredi soir, il avait estimé que le mouvement "menaçait la démocratie" et minait "la réputation du Canada à l'étranger".

Des "comptes bancaires d'individus et d'entreprises" liés au blocage ont été gelés, a précisé lors d'une conférence de presse la ministre des Finances et vice-Première ministre Chrystia Freeland.

Qualifiant la situation de "précaire", le ministre de la Sécurité publique Marco Mendicino a estimé que "les blocus illégaux aux frontières" avaient coûté des milliards de dollars à l'économie canadienne.

Les manifestants, déterminés à rester "jusqu'à la fin", avaient reçu mercredi un ultimatum des forces de l'ordre, qui ont fait le tour des camions pour distribuer un tract leur intimant l'ordre de "quitter les lieux".

"Ils essaient de faire peur aux gens pour éviter qu'ils ne viennent ce week-end", a commenté auprès de l'AFP le camionneur Kevin Veurink, 39 ans, réagissant à l'installation de barricades autour de l'enceinte parlementaire.

Pull gris avec logo "Liberté ensemble" sur le dos, cet Ontarien qui transportait un chariot avec des bidons d'essence se dit prêt à rester "jusqu'à ce qu'on se fasse arrêter, si cela arrive".

Le nouveau chef de la police d'Ottawa avait déclaré mercredi être prêt à "employer certaines techniques qui ne sont pas couramment vues à Ottawa".

- Situation périlleuse -

Un mélange de pluie et de neige attendu mercredi et dans les prochains jours pourrait compliquer les opérations de la police, confrontée à une situation complexe et périlleuse pour déloger les manifestants sans heurts.

Elle craint notamment la présence d'"éléments radicaux" mais aussi de nombreux enfants dans la manifestation, y compris des bébés.

La ville d'Ottawa, la province de l'Ontario et le Canada entier sont sous état d'urgence en raison de ce mouvement de contestation sans précédent, parti de l'opposition des camionneurs à se faire vacciner contre le Covid-19 pour franchir la frontière entre le Canada et les Etats-Unis.

Minimisé au départ par les autorités, le mouvement s'est étendu ces dernières semaines à l'ensemble des mesures sanitaires et, pour de nombreux manifestants, à un rejet du gouvernement de Justin Trudeau.


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