mercredi 21 février 2018

La chasse aux fantômes du cinéaste palestinien Raed Andoni

Qu'Arte soit un média soumis au lobby juif pro israélien, n'étonnera personne. Ils font comme tant d'autres de l'information à géométrie variable.
En effet, "La chasse aux fantômes" du cinéaste palestinien Raed Andoni, film programmé dans un premier temps à 21h, est reprogramme à 23h. Sans doute à la demande d'institutions juives comme le CRIF.
Il y en a marre de tant de pharisaïsme criminel.  

Les crimes commis contre les Juifs par les nazis sont programmés souvent et régulièrement à 21h [ce n'est pas ce qui me dérange]. Ce qui est dérangeant et qui prouve qu'a la tête de nos médias, comme de nos institutions politiques il y a des "petits" qui ne se rendent compte que les fictions hollywoodiennes ne sont pas là pour faire un devoir de mémoire, mais pour nous culpabiliser et nous rappeler sans cesse nos crimes. Et pour que les crimes que les juifs sionistes commettent en Palestine, passent selon l'expression: comme une lettre à la poste.  

C'est grâce à ces scolastiques personnages qui permettent à la 5e colonne pro-israélienne d'imposer en France la Shoah entant que religion d'Etat.

Le plus grave c'est que ces programmateurs hypocrites comme la plus part de personnalités politiques ou/et économiques font la différence entre les crimes nazis et les crimes israéliens:
  • Les premiers inacceptables,
  • les seconds tout à fait justiciables.
  • Alors que, aussi bien les premiers que les seconds, sont intolérables et condamnables.
  • Seul les êtres avec de la mélasse à la place du cerveau peuvent justifier des crimes, ou comme le disait le Général de-Gaulle: "les français ne voient pas plus loin que le bout de leur nez"  il les traitait aussi de Veaux, en pensant aux responsables…


Le film: 
Le réalisateur palestinien Raed Andoni organise un casting de comédiens et de professionnels du bâtiment plutôt particulier : chacun doit être passé par les geôles israéliennes, et, notamment, la Moskobiya, principal centre de détention de Jérusalem. Pas si compliqué : en Palestine, plus de quatre hommes sur dix font l’expérience des interrogatoires et de la prison. Sous le regard du cinéaste, lui-même ancien détenu, ceux qu’il a choisis (géomètre, maçon, architecte, peintre, menuisier, comédien…) acceptent de reconstruire les murs de leurs cellules dans un immense sous-sol vide et de revivre leurs traumatismes. Peu à peu, l’indicible se libère…


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