Qu'Arte soit un média soumis au lobby juif pro israélien,
n'étonnera personne. Ils font comme tant d'autres de l'information à géométrie
variable.
En effet, "La chasse aux fantômes" du cinéaste palestinien Raed Andoni, film programmé dans un premier temps à 21h, est reprogramme à 23h. Sans doute à la demande d'institutions
juives comme le CRIF.
Il y en a marre de tant de pharisaïsme
criminel.
Les crimes commis contre les Juifs par les nazis sont programmés souvent
et régulièrement à 21h [ce n'est pas ce qui me dérange]. Ce qui est dérangeant
et qui prouve qu'a la tête de nos médias, comme de nos institutions politiques
il y a des "petits" qui ne se rendent compte que les fictions
hollywoodiennes ne sont pas là pour faire un devoir de mémoire, mais pour
nous culpabiliser et nous rappeler sans cesse nos crimes. Et pour que les
crimes que les juifs sionistes commettent en Palestine, passent selon
l'expression: comme une lettre à la poste.
C'est grâce à ces scolastiques personnages qui permettent
à la 5e colonne pro-israélienne d'imposer
en France la Shoah entant que religion d'Etat.
Le plus grave c'est que ces programmateurs hypocrites
comme la plus part de personnalités politiques ou/et économiques font la différence
entre les crimes nazis et les crimes israéliens:
- Les
premiers inacceptables,
- les
seconds tout à fait justiciables.
- Alors
que, aussi bien les premiers que les seconds, sont intolérables et
condamnables.
- Seul les êtres avec de la mélasse à la place du cerveau peuvent justifier des crimes, ou comme le disait le Général de-Gaulle: "les français ne voient pas plus loin que le bout de leur nez" il les traitait aussi de Veaux, en pensant aux responsables…
Le film:
Le réalisateur palestinien Raed Andoni organise un casting
de comédiens et de professionnels du bâtiment plutôt particulier : chacun doit
être passé par les geôles israéliennes, et, notamment, la Moskobiya, principal
centre de détention de Jérusalem. Pas si compliqué : en Palestine, plus de
quatre hommes sur dix font l’expérience des interrogatoires et de la prison.
Sous le regard du cinéaste, lui-même ancien détenu, ceux qu’il a choisis
(géomètre, maçon, architecte, peintre, menuisier, comédien…) acceptent de
reconstruire les murs de leurs cellules dans un immense sous-sol vide et de revivre
leurs traumatismes. Peu à peu, l’indicible se libère…
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