vendredi 8 février 2019

Le pouvoir de refuser, de dire non.



Le pouvoir de refuser , de dire non.


Le contre-pouvoir garantit la Démocratie. Le journalisme en est un, c'est un fait indéniable, malheureusement ce journalisme, disons les grands média ont abandonné l'essence même de ce contre pouvoir. La raison en est très simple, ils appartiennent a ceux-là même qui s'octroient un droit de "cuissage" sur nos existences. La Démocratie ne peut donc pas s'exercer par ce biais. Et c'est tout naturellement ceux qui souffrent le plus, les Gilets Jaunes (soyons honnêtes pas uniquement) tentent d'utiliser le contre-pouvoir qu'a le Peuple pour pallier au manque flagrant de démocratie en France.

Que pouvons-nous attendre du Gouvernement et du Président de la république ? 
Rien, rien, rien puisqu'ils sont l'outil indispensable à l'exécution du "DROIT DE CUISSAGE" des rentiers. (Ho! Je ne parle pas du petit rentier qui un jour ou l'autre va se faire de toute façon "empapaouter"), non je parle des vrais rentiers qui tirent leur rente des capitaux qu'ils prêtent aux Etats.
En France par exemple, le remboursement de la Dette est un des principaux budgets. Il leur faut donc des alliés (soubrettes convient aussi) pour continuer à faire prospérer la créance. Créance qu'il faudra rembourser en moyenne tous les huit ans.
Et comme nous empruntons tous les jours de l'argent sur le MARCHE (à l’Élysée il y a même une cellule chargée de prospecter le MARCHE pour s'enquérir de la meilleure offre. Sous Hollande huit prospecteurs y officiaient. Rien que cette cellule, coûte une petite fortune) Et comme en France la fraude fiscale, qui permettrait d'équilibrer les budgets,  est utilisé principalement par les pratiquants du Droit de cuissage, il va sans dire que les budgets ne seront jamais équilibrés.

Pour faire comprendre l'incurie de ce Président, de ce Gouvernement (qui soyons honnêtes est à incorporer à la gestion des deux précédents) utilisent des arguments apocryphes pour nous faire accepter ce que normalement nous aurions refusé.

C'est ainsi que l'on nous parle du déficit de la Sécurité Sociale.  La Sécurité Sociale est un service régalien de l'Etat, comme l'est l'Armée, la Police, la Gendarmerie, la Diplomatie (les Guerres), les Pompiers […].
  • Lorsqu'on nous parle de déficit de la Sécu, c'est l'argument qui permet d'augmenter les charges salariales, la CSG…
  • Lorsqu'on nous parle d'endettement, c'est  l'argument qui permet d'augmenter les impôts…
Ceci est un constat, ce que je voudrais dire est, L'armée et … ne produisent aucune recette, et en cas de dépassement du budget on ne parle nullement de déficit.
La Santé d'une population est l'affaire de l’État, (service régalien). Que l'on doive y participer, pourquoi pas, puisque de toute façon ce qui n'est pas prélevé sur les salaires devra être payée par l'impôt. Mais delà a taxer toujours d'avantage les plus fragiles, au point d'être en dessous du seuil de pauvrette, dans un pays riche comme la France est un abus de pouvoir qui devrait être blâmable, condamnable et punissable.   

Se rend on compte, que tout est fait pour avantager les plus gros salaires.
Prenons si vous le bien, les charges qui pèsent sur les salaires. Je ne connais plus le plafond actuel, mais, à mon époque les hauts salaires étaient plafonnés. C'est-à-dire que si un smicard payait des charges sur la totalité de son salaire, passé le plafond en vigueur, les charges deviennent dégressives, voir absentes. Et même si en cas d'indemnités journalières le haut salaire, percevra ses indemnités en rapport à la cotisation, cela reste une injustice.  Ce n'est qu'un exemple.

Les employés français sont étouffés, pour que les princes engagent la France dans des conflits qui non seulement, ne nous regardent pas, mais parfois même on les a fomentées. 

N'oublions pas la déconstruction sociétale et sociale.  [Destruction des avancées sociétales et sociales votées par le Conseil de la Résistance].
Par exemple chaque allégement de charges sociales c'est le modèle social français que l'on affaiblit. 

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