samedi 17 mars 2018

Edouard Philippe -80 Km/h



Macron est un produit marketing, il a été conçu comme une boite de thon.
On a crée le besoin, on a habillé le produit puis on s'est donné les moyens de le commercialiser.
Le contenu du package doit être secondaire pour le consommateur, il aura tout le temps de se voir empoisonné.


Edouard Philippe à la lueur d'une recrudescence des accidents, souligne la nécessité de limiter la vitesse.  Il précise que ce n'est pas une mesure contre les français.

C'est de la manipulation sémantique en continu…
Car en effet, la problématique n'est pas la vitesse sur les routes, mais ce sont les excès de vitesse  qui sont à l'origine de la plupart des accidents.   

En conséquence, les motivations à l'origine de la volonté de réduire les vitesses sur l'ensemble des routes à 80 Km/h ne sont pas loyales. 

S'il a des routes ou des passages où la vitesse doit être limitée, les panneaux sont-là a cet effet. Et si ces panneaux ne sont pas respectés, il y a sans doute des questions à se poser. Un exemple, hier je roulais sur un tronçon  à quatre voies où la vitesse était limité à 50 Km/h. Eh bien, j'ai du me faire violence pour respecter la vitesse.

Il y a sans doute des croisements où la vitesse doive être limité à 50 Km/h ; des routes où l'on doive rouler à 70 Km/h ; d'autres 90 Km/h et d'autres encore 110 Km/h  ou comme en Allemagne des  routes qui ne sont pas limités et apparemment les routes allemandes ne sont pas plus accidentogènes qu'en France.

Moralité, un Etat qui met en place sur les routes une signalisation qui protège l'utilisateur, et l'autre qui met en place une surveillance contre l'utilisateur.
Nuance somme toute significative…, quelque soit la sémantique utilisée.  

Cet article n'est pas l'objet de ce blog, nous sommes d'accord. Il me semble cependant que la résistance à une oppression, pression est plus exact, pour favoriser une idéologie qui voudrait asservir les citoyens, n'a pas de frontière, ni de jugement particulier. Nous sommes face à des personnes sans scrupules, qui n'hésitent pas à utiliser leurs propres citoyens pour servir leurs mentors.    

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