Jusqu'aux années 80, la France faisait partie du peloton
de tête en matière de solidarité et d'économie. Elle était le "fer de
lance" que les nations soucieuses du bien-être de ses citoyens prenaient
en exemple.
La France était belle par ses paysages mais aussi par sa
solidarité inter générations, même si cela n'allait pas toujours de soi, les
contestations populaires souvent suivies, servaient à maintenir un équilibre
entre les "gens de pouvoir" et ceux grâce à qui le pouvoir pouvait
s'exercer. Les richesses produites
n'étaient pas exclusives, et le souci de l'équilibre était omniprésent.
L'idéologie actuelle de concentration des pouvoirs où la
mondialisation et la finance ne sont qu'un des aspects, n'a eu et n'a de cesse de rompre cet équilibre mentionné.
Les privatisations, les délocalisations et ceux qui le permettent,
finance en tête, n'ont pas d'autre objectif que de permettre aux chantres de la trilatérale d’exercer leur influence sur nos gouvernants.
Comment peut-on imaginer un monde où un dirigeant politique vivrait sur le dos
de ses "sujets" et où un dirigeant économique, serait rémunéré
dix-mille fois plus que le plus humble de ses "sujet"! Comme si celui
qui balaie son bureau n'avait pas droit à l'existence, alors qu'il ne demande
qu'à vivre décemment.
Ces dirigeants-là manquent de l'état-de-conscience
suffisant, qui différencie l'intelligence de la ruse ou l'humain de l'animal.
Bien sur, je l'entends déjà. Oui mais les footballeurs…
Nous sommes d'accord il y a trop d'argent dans le foot, y compris pour des
carrières courtes. Cependant il y a un aspect qui n'est jamais mis en avant:
- Celui
d'admettre que la plus-value qui permet la rémunération y compris celle
des dirigeants, se réalise grâce à l'ensemble de tous ceux qui y ont
contribué. Et pour très "magique" qu'il soit, un dirigeant ne
serait rien sans l'ensemble de tous ceux qui ont permis de réaliser cette plus-value.
- C'est
un mensonge que croire que Carlos Ghosn, par exemple, aurait à lui seul le
mérite qui lui est attribué.
- Très
souvent les circonstances font de
l'homme ce qu'il est. [Autrement dit: la réussite d'un homme est très souvent due, d'avantage à ses accointances qu'a sa valeur personnelle et c'est très dommageable.
- Ces
dérives sont inacceptables, surtout comme on l'a déjà vu: où un
"Grand-patron" perçoit des rémunérations et indemnités, hors
normes, y compris lorsqu'il a fait "couler" ou surendette l'entreprise.
=-=-=-=-=-=-=-==-
Revenons à nos moutons:
La France du Général de Gaulle, et après, était sur les
rails de la vision sociétale décidé par le Conseil de la Résistance, où à
l'inverse des gouvernements qui se sont succédés principalement depuis le
Mandat présidentiel de 2007 jusqu'à nos jours, l'Etat et l'Homme était placé au
centre des décisions. Les idéologies qui prônent l'hégémonie politique ou économiques
n'y avaient pas de place. Elle ne peut pas avoir de place dans un monde apaisé. Les va-t-en-guerre, les rusés! Ailleurs il y a de la
place. Mars, Jupiter, Uranus et pourquoi pas …
La Démocratie admet la contestation à la faveur du plus
grand nombre, mais il y a un point qu'aucune Démocratie ne peut éluder
c'est la justice. Une Démocratie qui agit par idéologie en dehors de toute
justice, est une démocratie de façade,
qui organise des élections, manipule les citoyens par la propagande
exercée, les mensonges et l'utilisation du Mandat à des fins personnelles ou communautaires tel que l'on a pu constater depuis 2007 où l’accélération de la démocratie de façade est visible […].
C'est malheureusement à cette déviance
"démocratique" à laquelle nous assistons. C'est une Démocratie qui
s'abandonne aux pouvoir de l'argent ou les cupides parviennent au sommet, non
par leurs qualités humaines, mais par leur malléabilité, leur allégeance aux "mains"
argentées.
La Monde global que l'on nous prépare, n'est pas fait pour
les êtres intelligents ou/et trop honnêtes. En matière de commerce on a
l'habitude de dire: "que pour
réussir il faut marcher sur des cadavres". C'est exactement ce que
font les adeptes de la mondialisation ou gouvernance mondiale.
Georges Pompidou premier Président de l'après Charles de Gaulle prit la décision (fit voter les lois) qui a
"enlève" les prérogatives de la banque de France pour financer les
investissements du pays (routes, écoles hôpitaux …) pour suivre l'idéologie
mondialiste du "MARCHE" (qui doit enrichir la finance) par
l'obligation qui était faite au pays de s'adresser à la finance privé. Les
effets de ce crime ne se sont pas fait sentir immédiatement, l'objectif de ces … est de parvenir à gérer les Etats comme une
entreprise, mais surtout à la place des gouvernement, qui avouons-le ne servent
qu'a limiter la vitesse, à fixer le degré d'alcoolémie au volant ; le taux des
retraites ; a en allonger les durées de valorisation, ce qui diminue les
montants ; a cheviller le taux du livret "A" … alors qu'il s'avèrent
incapables de réguler la finance mondiale, ou taxer la spéculation.
Ce que font ces gouvernements un simple comité de bénévoles
pourrait le faire.
Le Marche a décidé de la gestion de l'Etat, Comme si un
Etat était une entreprise! Les Gouvernements qui ont suivi ont tenté de
maintenir un équilibre comptable qui commençait à vaciller, le coup de grâce
fut donné par Dominique Strauss Kahn Ministre des Finances du Gouvernement
Mitterrand à qui l'on doit la courbe exponentielle de la DETTE.
- Georges
Pompidou, ancien directeur de la Banque Rothschild. [Entreprise au cœur du sionisme et du Groupe Bilderberg.]
- Dominique Strauss Kahn, financé par les satellites de la Banque Rothschild. Utilisa les CRÉDITS du Marché pour financer les dépenses courantes. [Un chef d’entreprise qui utiliserait le crédit pour ses dépenses courantes serait condamné pour abus de bien sociaux]. Faut'il rajouter quelque chose ?
- Emmanuel
Macron, ancien directeur de la Banque Rothschild.
- Sans oublier que M Sarkozy, M Hollande et bien entendu M Macron sont ou ont été les larbins accélérateurs de la Globalisation qui Asphyxie la Démocratie.
On remarque très clairement que cette France là, n'est pas
maître de son destin, que l'idéologie suivie n'a rien de commun avec la
Démocratie, sauf bien entendu, les tares ci-dessus cités. Le Général de Gaulle avait
la capacité de "voir" plus loin, sa vision panoramique de la
politique, en général, et l'intelligence et l'honnête qui le caractérisait fait
de lui un homme d'Etat qui ne se laissait impressionner, ni par l'argent, ni
par les menaces.
La guerre, contrairement aux va-t-en-guerre actuels, ne l'aurait
utilisée, c'est une certitude, ni pour étendre son influence, ni pour marauder
les richesses d'autres pays, fussent-ils moins bien armés que lui.
Qu'on fait Sakozy et Hollande, avec moins d'arrogance et
de gaieté que Macron? Eh, bien suivre les ordres qu'impose la mondialisation et
pour que la finance gagne d'avantage, qu'ils ont inventé? La loterie "made
in marché" :
- Jouer
avec notre argent ; la spéculation boursière ;
- quant
ils gagnent ils "touchent" ;
- quant
ils perdent n'est nous qui sommes touchés!
Un Etat sans Services Publics, n'est plus un Etat mais une entreprise où les plus criminels et manipulateurs d'entre-nous se taillent la part du LION.
Ceci n'est qu'un simple exemple, car pour qu'ils gagnent d'avantage faut-il encore faire "main basse" sur des services régaliens des Etats à la quasi inexistence concurrence a se partager entre concurrents.
Ceci n'est qu'un simple exemple, car pour qu'ils gagnent d'avantage faut-il encore faire "main basse" sur des services régaliens des Etats à la quasi inexistence concurrence a se partager entre concurrents.
- La
SNCF en est un bel exemple.
- On
a crée les conditions de sa "déconfiture" et en suite il ne
reste qu'un seul moyen de poursuivre, celui de PRIVATISER.
- On
est si stupides que cela?
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