Jean-Frédéric Poisson : "Quel est ce pays qui en est à vouloir inspecter le fond des consciences ?"
Sur l’absurdité de certaines décisions politiques qu’il juge déconnectées de la réalité, il n’hésite pas à parler de folie et étaie ses propos par de nombreux exemples. Il dénonce notamment les procès d’intention faits aux citoyens qui choisissent de ne pas se faire vacciner et qui seraient coupables de ne pas avoir une démarche "charitable, universelle et altruiste", ce qui justifierait le paiement des tests.
Déplorant que des institutions aient cessé de jouer leur rôle de sentinelle des libertés pour adopter une position militante, il pointe également l’absence d’indépendance judiciaire, particulièrement la justice administrative. Enfin, il dénonce l’incohérence, le mensonge et la manipulation de ceux qui ont pris les décisions, s’enfermant dans des positions délirantes dont ils ne savent plus comment en sortir.
Sur le rôle des médias, Jean-Frédéric Poisson revient sur une de ses interventions télévisuelles dans laquelle le journaliste qui l’interrogeait lui a ordonné de se taire lorsqu’il a donné les chiffres des décès - au-delà de 1000 – attachés à l’administration du vaccin, des chiffres dont il rappelle qu’ils étaient tout à fait officiels puisqu’ils venaient de l’ANSM.
Analysant les difficultés des français, il regrette l’absence de vison du Premier ministre Jean Castex sur la hausse des prix et dénonce les incohérences d’une politique fiscale dont les exonérations ne s’appliquent pas aux foyers les plus fragiles.Selon lui, la lutte contre la pauvreté passe par la baisse des taxes et des impôts, seules solutions qui permettraient à l’ensemble des foyers de profiter de ces mesures, dans la ligne de sa tribune que nous avions publiée :
Voir aussi ; "Lettre
ouverte à Jean Castex sur l’augmentation des coûts de l’énergie et leurs poids
sur le pouvoir d’achat des Français"
Ancien candidat à la primaire des Républicains en 2016, Jean-Frédéric Poisson se dit aujourd’hui prêt à rallier Éric Zemmour, avec qui il partage de nombreux constats, à condition que ce dernier se déclare officiellement d'abord, mais ensuite qu'il ajoute un volet social à son programme : on ne reconstruira pas la France sans prendre à bras-le-corps cette réalité.
"De mon point d vue Zemmour n'additionnera pas à son programme un volet social, pour la simple raison que les grandes lignes de son discours actuel n'est pas de son chef, mais de ses commanditaires. Le danger c'est qu'il dise ce que l'on veut entendre sans jamais (comme pour Macron) avoir l'intention de le réaliser. Le volet social n'est pas dans les "cartons" de ceux qui pensent avoir des droit qui nous sont réfusées. S'aligner derrière c e raciste équivaut à se mettre la "corde au cou".
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