Un
observateur attentif aura été stupéfait de la rapidité avec laquelle le
système médiatico-politique sera passé en quelques heures du narratif
Covid à celui de l’Ukraine. Depuis mars 2020, nous pensions que Covid-19
était une réalité construite, un événement nourri par des ingrédients
qui ont participé à la représentation dominante qu’il est devenu. Tout
aurait donc pu être autrement, dans une démocratie où le débat aurait pu
se tenir. Au lieu de cela, ils ont ouvert la voie à une propagande
vaccinale éhontée, angoissé, confiné, ségrégué, séparé, distancié. Tué.
Ils voulaient que rien ne soit plus comme avant. Ils ont réussi.
Maintenant, avec les mêmes armes, ils nous racontent le monde,
l’Ukraine, la Russie. Et ils veulent que nous y croyions. Une machine à
produire du mensonge ne générera pourtant jamais la vérité…
Liberté de la presse et Covid
Gardons en mémoire que la liberté de la
presse est une absolue nécessité en tout temps, et pas seulement quand
nos corps et nos âmes sont violés par les aiguilles de l'horloge
pandémique, mise à l'heure des gouvernements aux ordres. Il ne faut pas
attendre qu'ils frappent à nos portes en cuir noir et le flingue à la
ceinture pour réaliser; trop tard. A l'instar de la liberté d'expression
qui doit être défendue à tous prix, même quand on n'a rien à dire, où
celle de mouvement, même cloué au lit. Quand vous pensez que les
gouvernements vous laissent reprendre de l'air, ils continuent au fait à
vous étouffer. Sous le silence criminel de mesures qui aujourd'hui
blessent et tuent:
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire