mardi 16 janvier 2018

L'armée israélienne déclare Nabi Saleh, village de la famille Tamimi, zone militaire fermée


L'opposition du village palestinien Nabi Saleh, à la politique d'un autre temps que pratique le gouvernement israélien est symptomatique de la lâcheté et du manque de probité qui règne au sein de nos pseudos démocraties.
Les hommes qui nous dirigent sont des êtres écœurants, au service de ce qui il y a de plus abject chez l'homme.
Les mêmes êtres, pusillanimes à coup sur, qui ont permis au nazisme de commettre ses crimes, permettent aujourd'hui au sionisme de commettre les siens.
C'est d'autant plus méprisant, que ces criminels (sionistes) voudraient justifier leurs crimes, par le crime contre l'humanité que fut l'Holocauste (Shoah pour les Juifs).
C'est dire, si la pensée dominante que ces êtres méprisables magnifient (souteneurs du sionisme) est imposée dans le  subconscient du citoyen lambda, par nos dirigeants manipulateurs, nos médias remarquables par leur lâcheté, par tous ces intellectuels à qui on donne si souvent la parole et qui  nous trompent sans vergogne.   

Middle East Monitor
15-01-2018


L'armée israélienne a déclaré samedi dernier que la ville de Nabi Saleh, située au centre de la Cisjordanie occupée et foyer de adolescente emprisonné Ahed al-Tamimi, est devenue une zone militaire fermée, bloquant toutes les entrées et sorties.

L'agence de presse officielle Wafa,  de l'Autorité palestinienne, a rapporté que les forces israéliennes avaient érigé des barrières sur la route principale menant à Nabi Saleh et empêché les Palestiniens, y compris les journalistes, d'entrer dans le village. Wafa a cité Bilal al-Tamimi, le père d'Ahed, qui a été arrêté par les forces israéliennes le mois dernier pour une vidéo qui le montre en train de gifler et de donner des coups de pied à un soldat israélien. Cependant, Wafa a également rapporté que certains Palestiniens avaient pu entrer dans le village en empruntant des itinéraires alternatifs plus longs pour participer à une manifestation organisée là-bas.

Ahed Tamimi: le symbole d'une nouvelle génération palestinienne

Des dizaines de Palestiniens ont été affectés par des inhalations de gaz lacrymogènes lorsque les forces israéliennes ont réprimé la manifestation, organisée en soutien à Ahed et en rejetant la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël par le président Donald Trump.

Bien que Wafa ait rapporté que la fermeture avait été effectuée pour empêcher les gens de se joindre à la manifestation, certains ont spéculé qu'elle avait été adoptée comme une punition contre les voisins de Nabi Saleh, en particulier contre la famille al-Tamimi.

Depuis l'arrestation d'Ahed, cousine Nur elle-même détenue, récemment libéré, ont également été arrêté, sa mère Nariman et sa tante. Il y a aussi été arrêté il y a quelques jours, un de ses cousins​​ lors d'une descente de nocturne de l'armée israélienne.

Il y a une semaine, un cousin éloigné d'Ahed, Musaab al-Tamimi, du village voisin de Deir Nitham, a été abattu de plusieurs balles par les forces israéliennes.

La famille Tamimi, de Nabi Saleh, est internationalement reconnue pour sa résistance contre l'occupation israélienne, qui maintient une présence militaire intense et presque constante dans la ville.



Moins que ce qui est écrit sur cette affiche, 
c'est le message qui devrait nous importer.

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