dimanche 21 novembre 2021

Paroles de soignants :

Tout le monde est libre d’utiliser son intelligente comme il l’entend.  Il faut reconnaitre cependant, que le pervers narcissique élyséen à fait applaudir ces soignants au moment où ils prenaient tous les risques, et aujourd’hui il les empêche d’exercer parce qu’ils refusent le vaccin. Un vaccin qui, malgré les manipulations déployées, ne protège pas la personne ni ses contacts.

Plus de 50% des vaccinées l'on fait pour des raisons qui n'on rien de commun avec le covid19. Le pervers narcissique prend, pourtant, la vaccination comme une victoire, punit ceux qui en leur âme et coïncidence refusent. Moi j'appelle cela de la perversion narcissique. 

Nul besoin d’être super intelligent pour comprendre que ces vaccins ont été crées pour enrichir les actionnaires et rémunérer les nervis du type du pervers narcissique. Le reste c’est de la littérature pour des gens pusillanimes ou peureux voir ... 

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Paroles de soignants : "Je me sens prise au piège, comme un animal"

 Publié le 16/11/2021 à 15:30
"Je n’ai pas envie de lâcher, mais j’ai trois enfants, des crédits. Donc au final, je n’arrive pas à envisager autre chose que la vaccination obligatoire."
© Sebastien SALOM-GOMIS / AFP/Archives
Auteur(s): FranceSoir

Le mois dernier, nous vous parlions d’une médecin qui avait choisi de donner la parole aux infirmiers et aides-soignants suspendus du fait de leur refus de se soumettre à l’obligation vaccinale.

Une seconde flopée de témoignages vient d’être diffusée sur la chaîne Youtube ZHfilm. Face caméra, le visage hors champ, Franck, Vanessa, Coraline Et M.J font part de leur détresse face aux décisions iniques du gouvernement. "Dans le monde d’aujourd’hui, on a des crédits immobiliers, on a des factures. Je trouve ça inhumain de nous obliger à nous injecter quelque chose dans le corps. C’est ça ou on n’a plus de salaire, ni aide de l’État. […] Je me sens prise au piège, comme un animal", s’apitoie Coraline, infirmière en psychiatrie.

Face à cette situation, il y a ceux qui refusent de céder, quitte à envisager une reconversion, et ceux, comme M.J, qui songent sérieusement à courber l’échine. "Je n’ai pas envie de lâcher, mais j’ai trois enfants, des crédits. Donc au final, je n’arrive pas à envisager autre chose que la vaccination obligatoire, même si c’est contre mon gré."

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Également infirmier psychiatrique, M.J livre par ailleurs un témoignage édifiant sur la façon dont étaient pris en charge les patients au début de la crise Covid. "Tous les patients qui rentraient dans notre unité étaient fermés à clé, dans leur chambre pendant 14 jours. Il y avait une surveillance des symptômes pour voir s’ils n’avaient pas le Covid, mais tout l’aspect psychiatrique était laissé de côté. […] C’est-à-dire que quelqu’un qui entendait des voix, il était 14 jours tout seul dans une chambre."

Le récit le plus émouvant est celui de Vanessa, infirmière libérale, que la situation actuelle a plongée dans un profond désarroi. "Je n’ai plus ma joie de vivre. Je pleure tout le temps. La vie s’écroule", lâche-t-elle en larmes.

Auteur(s): FranceSoir

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