lundi 7 février 2022

"Aujourd’hui, il n’y a pas de contre-pouvoir" Dr Amine Umlil

Article très intéressant d'un point de vue juridique mais aussi parce qu'il met en exergue les incohérences d'un pouvoir malhonnête.  

En passant, La France a deux ennemis : Macron et Zemmour .L'un pour ce qu'il a fait, l'autre pour ce qu'il veut faire. 

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 Publié le 02/02/2022 à 17:00

Dr Amine Umlil, responsable de la parmacovigilance de l'hôpital de Cholet. 
Auteur(s): FranceSoir

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Pharmacien et juriste en droit de la santé, le Dr Amine Umlil est venu nous parler de stratégie juridique. Participant au congrès franco-italien du samedi 29 janvier, où les intellectuels des deux pays se sont réunis, il croit que le droit nous permettra de sortir des politiques sanitaires, trop contraignantes pour la population selon lui.

Comme bien d'autres, le Dr Umlil s’inquiète pour la démocratie française. Selon lui, « il n’y a plus de contre-pouvoir », et il s’indigne de voir qu’à peine annoncé, le passe vaccinal était comme déjà acquis : « il suffit que le président dise quelque chose et c’est adopté. Je m’interroge quant à l’avenir. Si on continue sur ce chemin-là, si un jour un fou furieux arrive au pouvoir, est-ce qu’il y aura des contre-pouvoirs pour protéger la population ? »

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Voir aussi : "Il y a eu une cassure" : comment vivent les soignants suspendus, quatre mois après ?

L’idée qu’il développe sur notre plateau est la suivante : les politiques actuelles peuvent fabriquer des délinquants, car lorsque les travailleurs, notamment les soignants, sont privés de salaire s’ils ne se font pas vacciner, comment font-ils alors pour survivre ? À ce sujet, le responsable de la pharmacovigilance de l’hôpital de Cholet pose la question de la légalité de l’obligation vaccinale pour les soignants et explique ce qu’est « l’état de nécessité » en droit pénal.

Rappelons qu'il est en lutte avec la direction de son hôpital depuis le début de la crise, le pharmacien a vu le blog du Centre territorial d'information indépendante et d'avis pharmaceutiques (CTIAP), dans lequel il écrivait, supprimé du jour au lendemain. « Six années de perdues en un claquement de doigt », rapporte-t-il. Nous reprenons désormais ses écrits dans un dossier sur FranceSoir.

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