Je dédie cette lettre à tous les in-con-séquents que transporte la France aujourd'hui. Des êtres amoraux qui pour un peu d'argent ouvrent leurs cuisses, ou se font sodomiser par des personnages sans état-de-conscience, des animaux en quelque sorte.
Cher Monsieur le maire de Turenne, Yves Gary du nom,
Un ami m’a envoyé hier
soir votre lettre intitulée “le mot du maire”. Je me suis esclaffé en la
lisant. (…)
Cela fait plus d’un an
et demi que la majorité de nos concitoyens sont coupés de toutes leurs
capacités cognitives par la propagande incessante dont les inondent les médias
de masse, subventionnés par l’Etat et détenus par les huit familles les plus
riches de France. Ces médias, et depuis longtemps, n’ont plus pour fonction
d’informer les gens, mais simplement de se faire les porte-voix du
gouvernement. Toutes les considérations dont vous gratifiez votre public
reposent donc sur le crédit que vous accordez à ce que raconte celui-ci. Vous
supposez, en somme, qu’il dit, depuis un an et demi, la vérité. Or, c’est le
contraire. Ce gouvernement a menti sur absolument tout. Ce gouvernement n’est
plus qu’à son tour qu’un outil au service d’institutions supranationales comme
l’OMS, ou de multinationales, comme Pfizer. Saviez-vous que notre président de
la République avait négocié, du temps où il travaillait pour la banque
Rotschild, un contrat à hauteur de 10.000.000.000 de dollars entre Nestlé et…
Pfizer (vous avez dit “compte offshore” ?) ? Saviez-vous que son
épouse détenait quantité d’actions dans la même entreprise ? Saviez-vous
que c’était Pfizer qui alimentait le compte Suisse de Cahuzac, et probablement
de nombre de membres du Parti Socialiste, celui qui veut nous pousser à la
vaccination obligatoire ? Saviez-vous que Pfizer est l’entreprise
pharmaceutique la plus corrompue et la plus condamnée en justice de tous les
temps (plus de quarante verdicts négatifs, plus de 5.000.000.000 de dollars de
dommages et intérêts versés en tout) ?
Vous commencez votre
lettre en disant que nous espérions, au printemps, que le covid 19, si vous me
passez l’expression, nous lâcherait un peu la grappe. Las !
Dites-vous : il y a eu la quatrième vague. Désolé de vous détromper :
il n’y a pas eu de quatrième vague, parce qu’il n’y en a pas eu de troisième,
qu’il n’y en a pas eu de deuxième, qu’il n’y en a pas eu de première ; et
que, en réalité, il n’y a jamais eu de “pandémie” du tout, sauf dans quelques
cerveaux malades, notamment ceux qui dirigent l’OMS, probablement
l’organisation politique la plus criminelle de tous les temps.
Lettre in extenso :
Mehdi Belhaj Kacem
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